Y’a pas de diktat mais votre commentaire à propos de Léo Férré est tout à fait méprisant. Je ne vois pas ou est l’oxymoron ; je trouve même celà insultant et je le souligne donc.
Tout à fait. Il faut une police de la pensée pour nous dire quelle poésie est acceptable ou non. Merci de nous rappeler que Léo Férré ne l’est pas. Pas sur que Paul Éluard aurait apprécié cette police là.
"Le désespoir est une forme supérieure de la critique. Pour le moment,
nous l´appellerons « bonheur », les mots que vous employez n´étant plus
« les mots » mais une sorte de conduit à travers lequel les analphabètes
se font bonne conscience. Mais...
La solitude..."