Ou là là... On voit que combattre le terrorisme islamique ça vous déplaît fortement... LIVIDES - voilà ce que tous les thuriféraires du NOM sont aujourd’hui. Ça sent le sapin tous ça. À défaut d’un autre Nuremberg, le sapin ça me convient tout à fait.
Merci Serge pour cet article très édifiant, c’est un plaisir de vous lire. En prime vous nous offrez une expression québécoise (prendre son trou - voir plus bas pour la définition) inconnue de vos cousins. Bien qu’ayant vécu à Montréal quelques années je n’étais jamais tombé dessus...
Bon, ceci étant dit, faites attention, MILLA est ici pour pourrir les commentaires et vous faire le maximum de tort - et probablement payé pour ça. NE le nourrissez pas SVP !
Au plaisir de vous relire.
Prendre son trou
On peut être dans le trou, mais on peut aussi prendre
son trou. Cette expression a deux significations. Elle veut dire se
faire remettre à sa place ou s’écraser devant quelqu’un ou
devant une épreuve.
— J’avais le choix entre démissionner et prendre mon
trou. J’ai finalement décidé de prendre mon trou en
attendant ma retraite dans deux ans.
— J’aurais dû le poursuivre en justice, mais j’ai pris
mon trou. Avec le recul, je regrette mon choix.
Franchement, je ne vois pas d’insulte à être traité d’âne... Il ne viendrait sûrement pas à un âne l’idée saugrenue d’ingurgiter des farines animales. Aller vous soigner ailleurs - le docteur ne peut rien pour vous, il n’est pas vétérinaire.