Tres bon article de Morice.
Mais apres quelques semaines d’absence sur AV, je suis stupéfait de la bétise abyssale qui se propage a partir d’un article scientifique de bonne tenue.
Heureusement que nous savons gràce a des inventeurs comme les ’’Piccard’’ que la vie subsiste dans de telles profondeurs.... !
mais qui nous dit que JK n’est pas l’arbre qui cache la foret, il y a peut-etre d’autre JK à la SocGen, et c’est peut etre grace a eux que cette banque gagnait beaucoup d’argent du temps ou le marché le permettait
car finalement des oscillations de 10 % sont ’’argent courant’’ à la bourse en quelques semaines voire jours sur des marchés à risque
Quand j’étais petit, je n’était pas grand...... et sur la grande et celèbre ORTF noire et blanche, je regardais une gentille emission qui donnait des trucs et astuces pour faire des économies ( cela devait se situer à la fin des années soixante).évidemment ce n’était pas un grand show avec imitation de rires et générateurs d’applaudissement , et donc à tout petit buget..... ce qui ne dois pas etre le cas à TF1
J’ai comme souvenir ( prouvé par l’ expérimentation réussie) que pour faire cuire des pâtes, il faut faire bouiller l’ eau, puis plonger les pâtes, attendre que cela bout à nouveau, couper le gaz, couvrir avec un torchon (propre) plié en quatre, recouvert par le couvercle..... dans 5 minutes elles sont ’’al dente’’ et dans 10 minutes aussi, car la cuisson se stoppe fûr et à mesure que la température de l’eau baisse .je suppose que cela ne marche qu’avec du gaz voire de l’induction car les plaques électriques accumulent trop de chaleur latente, ou alors il faut enlever la casserole de la plaque.
Ce genre d’emission n’est pas une invention originale de TF1, mais une bonne vieille recette comme savent nous les dénicher les archéologues de l’ INA
Merci de cet exposé trés éclairant et donnant des pistes de reflexions mais sans conclure pour autant.
Ma question auprès des spécialistes du droit serait la suivante :
en l’ absence de législation ( qui je le pense maintenant devient nécessaire) un médecin laissant dans la chambre du patient l’équivalent d’une dose létale de médicaments ne peut-être accusé de complicité ? ( sauf peut-être dans le cas d’un malade complètement paralysé).