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Tseng

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  • Tseng 21 février 2013 21:37

    Je préfère tuer un poireau ou une courgette et même jusqu’à me pourrir la santé avec des légumes bourrés de pesticide si je n’ai pas le choix que d’être responsable de la mort d’un animal en achetant des produits dérivés et ce, même en ayant un petit salaire.

    >olivier cabanel
    « dites moi si vous avez tenu jusqu’au bout.. »
    J’ai tenu mais avec de la peine. Mais d’autres pratiques sont encore plus alarmantes...
    Comment est ce possible ? certains demanderont.

    Réponse :

    En regardant ces vidéos mettant en avant tout ce que l’humain a de plus beau dans son geste, ses actes, lui même robotisé à cause de la pression constante de l’économie, de la croissance, du toujours plus et pour faire bénéficier toujours les mêmes (attention vidéos particulièrement choquantes) :

    http://www.youtube.com/watch?v=ce4DJh-L7Ys&nbsp ; (sous titre français activable, 1h30, reportage abordant des thèmes comme la vivisection, l’industrie animale, la tauromachie etc... images choquantes tout le long du reportage)

    http://www.youtube.com/watch?v=9ivPJUypbVs&nbsp ; (Fr, 1h10, discours d’un végétalien expliquant ses choix à ne plus manger de produits animaux, images choquantes à partir de 16 minutes et à partir de 1h)

    http://www.youtube.com/watch?v=nBTuafft0wU&nbsp ; (Fr, 2 minutes, Phoques, images choquantes)

    Et on pourrait trouver encore et encore ce genre de vidéos, censuré par youtube du fait d’actes encore plus barbares...preuve de l’ampleur du désastre...

    Quand on pense que la terre supporte encore ces afflictions, ces maux, que l’homme exécute à la lettre tel un fanatique inconscient, et quand bien même lorsque l’animal lui montre d’un simple regard le supplice enduré, à laquelle un enfant ne pourrait être indifférent ... pourquoi ne pas vouloir changer au vu de cette réalité ? On ne peut pas la nier, c’est impossible. C’est pourquoi, transmettre aux gens cette souffrance, pour tenter d’éveiller les consciences, tout comme vous -olivier, Agoravox et bien d’autre- faites pour informer, éduquer, choquer aussi, mais ainsi améliorer petit à petit le comportement de la populace qui sont à l’heure actuelle indifférents, effacés, apathiques envers ces situations alarmantes, dont les médias ne s’en inquiète pas le moins du monde et n’en parlent même pas. Les mentalités changent petit à petit.

    Quand on sait que les quelques tribus restantes sur terre respectent la vie sous toutes ses formes du fait d’une expérience et d’une sagesse accumulé pendant 200 000 ans, mais nous, SUPERHUMAN, d’un revers de main, avons supprimés ces valeurs, avons prônés notre suprématie sur la vie, ayant même réussi à nous faire aimer cette fonction de bourreau.
    Que penseront nos enfants de leurs ainés quand il regarderont derrière eux ? Égoïsme, cruauté, simplicité d’esprit, avilissement... rien de positif... à part peut être auront-ils une petite pensée pour ceux qui se seront levé pour dénoncer ce système infernal, peut être...

    On peut reprocher à ce genre de message de faire du tord aux petits bouchers locaux, de n’avoir rien compris, de vouloir choquer pour choquer, d’émouvoir, que cela ne vas pas changer grand chose, d’être dans l’inaction, d’en faire culpabiliser... ce n’est pourtant pas ma volonté. 
    Je ne peux rester insensible, inanimé, froid face à ce bilan, c’est pourquoi je ne suis plus un viandard et autres depuis quelques années.

    Il faut retrouver cette vision qu’à l’enfant sous sa forme la plus pure, avec des émotions, une vision et une sensibilité que nous avons du mal à nous réapproprier, regardez les choses autrement, regardez autrement.



  • Tseng 21 février 2013 02:00

    >Rosemar

    « Et la filière BIO est-elle bien contrôlée, est-elle toujours fiable ?? »
    C’est un point important que vous signalez là et il est difficile de savoir d’où provient certains produits et leur éventuel traitement. C’est vrai qu’il faut faire attention à tout les produits bio (et non bio aussi bien sûre) proposé sur le marché, on peut déjà réagir de cette façon :
    - Contrôler la liste des ingrédients (un végétarien vérifiera par exemple si le produit contient de la gélatine, élastine, présure, acide lactique, glycérine.... qui peuvent provenir d’animaux. En général si la provenance n’est pas précisé, il faut fortement se méfier, ex : « glycérine » seul),
    - l’origine (privilégier des produits français),
    - les Amaps sont une solution comme le signale shiatsulandes40 (à condition que le maraicher cultive bio)
    - si on a la chance d’avoir un bout de jardin l’exploiter si possible pour se nourrir
    -...

    Après, même dans les produits bio on trouve de la viande, du lait, des légumes importés... d’ailleurs, certaines personnes pensent que le bio est obligatoirement bon pour la santé (donc un manque d’information de ce côté là) mais ce n’est pas forcément le cas. D’où l’importance de regarder les ingrédients et de ne pas manger de produits animaux, qui sont deux conditions, si respectés, ne pouvant être que bénéfiques pour la santé.

    Si on regarde des super puissances comme Monsanto qui veulent breveter le vivant et utilise à tout va les OGM, avec une mainmise sur tout ce qui gène, et donc ayant une influence sur notre alimentation présente et futur, je me demande si finalement le titre de votre article « l’homme va-t-il mourir de son alimentation ? » ne se réalisera pas dans un certain avenir.

    Avec de l’espoir, tout porte à croire que même une simple action, un mouvement, un pas -aussi minime soit-il, de la part des citoyens, provoquent un changement des mentalités si solidement ancrées.



  • Tseng 20 février 2013 16:39

    Oui, de toute manière l’état fait la politique de l’autruche et prends ouvertement les gens pour des cons.
    « Et la marchandise n’était pas impropre à la consommation. Les graisses animales contenues dans ce faux beurre sont utilisées dans de nombreux produits », un bel exemple.



  • Tseng 20 février 2013 15:06

    Exactement, ce n’est pas difficile de se passer d’aliments carnés et d’autres produits dérivés. D’autant que ceux qui ne sont pas végétarien jugent ceux-ci sans même réfléchir aux fondements de leurs choix. Une alimentation végétarienne est financièrement moins chère et meilleure pour la santé quand on sait toute les merdes que les poissons ingurgitent dans les océans, ainsi que les bovins/caprins... rempli d’antibiotique et d’hormone.
    De toute façon, quand on voit les rigolos qui nous dirigent et qui parlent au « nom du peuple », on ne peut qu’aller à la catastrophe. Un exemple magnifique est celui de Delphine qui veut nous mener en Batho (oui bon facile), ministre de l’écologie, en nous faisant croire qu’elle n’est pas au courant à propos de l’autorisation des farines animales, on se croirait dans une comédie : « Bizarre...bizarre ouai... oui je vais regarder ! »

    "Le plus difficile est surement de combattre nos habitudes tenaces et nos fausses idées sur les bienfaits de la viande et du poisson", je rajouterai aussi qu’une véritable révolution des mentalités s’impose. Le système de toute manière est voué à s’effondrer tôt ou tard. Ce n’est pas en votant pour le FG, le FN, le PS, l’UMP, les Verts... dirigés par des gens corrompus, qui n’ont jamais fais partis des pauvres, que cela va changer quoique ce soit. C’est tout qu’il faut refaire, l’éducation, l’agriculture bio (comme la permaculture, la biodynamie, ou encore l’agroécologie), les médias, répartir la population équitablement pour laisser du territoire aux animaux , apprendre à l’homme à respecter son environnement, s’organiser collectivement plutôt qu’individuellement .... Une forme de sociocratie serait peut être mieux adapté, mais de toute façon tant que la France ne sera pas au moins dans une situation comme la Grèce, rien ne changera, puisque l’homme bouleverse son comportement seulement lorsque son quotidien est altéré.



  • Tseng 14 février 2013 00:26

    Le reportage d’Harald Eia est vraiment intéressant. Je trouve quand même surprenant d’avoir une telle différence d’opinions entre les scientifiques norvégiens et américains. Surtout que dans le reportage, les norvégiens eux-mêmes se dirigent vers des emplois qui leur sont naturellement/biologiquement adapté, mais ces scientifiques se heurtent quand même à leurs idées.


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