@rastapopoulos Cet article de Pascal Robaglia ne parle pas vraiment de cela, mais oui, je suis totalement d’accord avec vous : la liberté d’expression recule partout dans le monde. Pire, je constate même que dans certains pays totalitaires, les lois de censure et de répression de la liberté d’expression s’assouplissent alors que dans les pays dits développés, les pays occidentaux principalement le politiquement correct assassine totalement la liberté de créer. Je n’ai pas honte de dire que la liberté d’expression en France est devenue une grosse farce à cause du lancement du politiquement correct par Jacques Chirac. Cet article nous montre que le soft power (le terme politiquement correct qui désigne la propagande) est devenu le nouveau moteur de développement des musées et c’est une bonne chose que ces musées se développent, encore faut-il que l’art exposé dedans soit libre !
Question intéressante posée par Pascal Robaglia. Oui, je pense que derrière ces deux pseudonymes se cache le même homme. Un chanteur de trip-hop peut avoir moins de crédibilité qu’un graffeur et je pense que cela est judicieux de dissocier ces deux arts car si il « dérape » dans un graffiti ou dans une chanson comme ça peut arriver, l’autre partie est à l’abri de la polémique. C’est même logique quand on sait que les deux pseudos n’ont pas le même public et que peu de synergies sont possibles entre ces deux domaines artistiques.