Merci pour vos commentaires, je suis heureux de voir que la rubrique sport ne tombe pas encore dans l’oubli !
Je comprends parfaitement votre position Arminius quant à l’ambigüité du titre de cet article ; or, c’est par pur souci esthétique que j’ai opté pour « Hockey, le mal-aimé » plutôt qu’« Hockey sur glace, le mal-aimé ». J’espérais pouvoir racheter la donne avec une précision en première ligne de chapeau, mais il semble que ce soit encore trop tard. Je tâcherai d’y porter une attention plus pointue pour le prochain !
Étant moi-même un fidèle de la religion amoindrie du hockey sur glace, les critiques qui sont énumérées dans cet articles qui concernent ce sport m’atteignent profondément. Or, ces critiques sont bien là et elles ont pris racine aux États-unis ce qui a gravement amputé l’auditoire de la NHL et confirmé la position de bon dernier pour les sports de très haut calibre en Amérique du Nord (juste devant la MLS, Major League Soccer, qui n’est toutefois pas encore du même niveau que les championnats européens... pas encore). Durant les séries éliminatoires du printemps passé, certaines parties étaient plus regardées dans la petite province du Québec, comptant souvent autour de deux millions de téléspectateurs, soit environ le tiers de la population québécoise, que dans tous les États-unis, les séries y étant diffusées sur la chaîne satellite spécialisée Haute-Définition Versus.
Ayant également été victime d’un grave accident de hockey qui me confine maintenant au hockey-balle et au hockey cosom, je souhaitais tout simplement faire découvrir de nouveaux visages du hockey.