• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Tzecoatl

Tzecoatl

Eduqué à étudier et travailler, j'ai été organiste, salarié agricole, commercial, informaticien, musicien auteur, monétariste, prof de maths, et jardinier agro-écologue, nutritionniste et physicien à l'occasion.
Je n'ai pas de prévalence pour la politique, sanction de la rareté. Il s'agit d'un abus et fructus de classe pathologique mais nécessaire pour la raison publique. Fournir l'abondance est plus subtil et passionant.
 
Concernant mon pseudo à consonance aztèque, mais de sonorité bretonne, il exprime ma curiosité  : Tu sais quoi ? T'es libre.
 

Tableau de bord

  • Premier article le 02/08/2006
  • Modérateur depuis le 12/09/2008
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 20 4063 578
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 500 446 54
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Tzecoatl Tzecoatl 2 août 2006 12:15

    Offset, j’ai effectivement simplifié et je n’ai pas parlé du rôle de la banque centrale, du refinancement, de la compensation, etc. Cependant, ces mécanismes n’obèrent que de peu les revenus des banques secondaires. Et la monnaie créé par la banque centrale n’est pas la même que par les banques privés. Si certains souhaitent aller plus loin dans les relations entre banque centrale et banques privées, je leur conseille les liens suivants : http://leneant.echosblogs.org/category/274/671 http://perso.orange.fr/jegu.jean/navi1.html

    Je ne départage pas entre création monétaire monopole d’état ou délégué au secteur privé, à ce détail près que l’état ne prélevait pas d’intérêts lorsqu’il faisait tourner la planche à billet, ce que pratique honteusement les banques privées sur une coquille vide, poudre aux yeux de richesse. Lorsque je produis un bien physique, il ne va pas faire des petits dans l’année (ormis l’inflation). Le secteur bancaire se permet de toucher des intérêts sur une simple écriture comptable. Seuls des frais de dossier et des garanties de non-paiement devraient lui être accordés à mon avis. Les banques privées vont même jusqu’à acquérir des entreprises via la création monétaire. On dit qu’il « monétisent leurs actifs ».

    Olivier, je veux bien croire que c’est énorme comme affaire, mais il n’y a pas hélas de contrepartie pour l’état français, qui a du s’aligner sur la politique monétaire allemande via Maastricht (pour des raisons historiques liés à sa crise économique précurseur du nazisme) et par l’abandon de l’étalon-or sous Nixon. Je ne vise pas uniquement l’état, je précise juste que dans le cas d’une monnaie régalienne, l’état, représentant des citoyens, n’a pas à se faire spolier par une minorité. D’ailleurs, les entreprises et les particuliers, non plus. Pour reprendre les terme de Jean Jegu (lien ci-dessus) : « Encore heureux que l’ensemble des prêteurs , plus vaste que l’ensemble des banquiers, n’ait pas encore pris conscience que la masse des dettes engendrées par les crédits en cours excède très largement ( environ 5 fois ) la masse monétaire existante susceptible de les rembourser ! ». Et même plus puisque la masse monétaire temporaire (issu des crédits) est de 85 % à l’heure actuelle, la masse monétaire permanente comblant le reste. Aux Etats-Unis, c’est 95% de masse monétaire temporaire.



  • Tzecoatl Tzecoatl 2 août 2006 11:09

    Et bien, ton idée se révèle être prometteuse, à la condition qu’elle soit prise à bras le corps.



  • Tzecoatl tzecoatl 31 juillet 2006 22:12

    Francis, vous trouvez normal que les prix mondiaux ne permettent quasiment à aucun paysan de vivre correctement ? Si l’industrie agro-alimentaire (et de surcroit la grande distribution) bénéficie d’une situation oligopolistique face au milliard de paysans, seuls les états ont réussi à rééquilibrer cette maldonne en subventionnant. Il aurait évidemment été préférable pour le consommateur de payer plus cher son produit alimentaire et en payant moins d’impots et moins de taxes (il éviterait les coûts liés à la redistribution), il n’empêche que rien ne permet de payer à un prix correct le producteur (et visiblement pas les politiques), ormis le commerce équitable.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv