Votre réflexion relègue la femme à un simple automate incapable de penser par elle même, d’avoir ses propres opinions fussent elles en désaccord avec les votres. Pourquoi n’acceptez-vous pas qu’une musulmane puisse porter la burqa si c’est sa volonté. je le répète je ne suis pas pour. mais si elle le fait c’est son droit.
Et pour ce qui concerne sphère privée et publique je vous rappelle que les sataniques ont un code vestimentaire très marqué. Je n’ai jamais entendu parler d’un refus de nationalité pour une de ces personnes et pourtant dans leur corpus le sacrifice d’enfant est une donnée incontestable qu’heureusement très peu franchisse.
un article qui n’est pas endroite ligne avec la bien-pensance et le voici boycoté, critiqué, bousculé...
Des auteurs de posts qui manient parfaitement bien le deux poids deux mesures quant cela concerne leurs opinions. ils utilisent des artifices fallacieux, pour justifier des positions qui vont à l’encontre de leurs valeurs de tolérance, de respect des autres, et de liberté d’expression.
L’homme ne cessera jamais de me surprendre.
Je crois sincèrement que le conseil d’état a dépassé le cadre qu’il lui avait été fixé en s’immisçant dans la vie privée d’une personne. Une boîte de pandor vient d’être ouverte par ce précédent.
En effet, si la motvation princiaple a été : "l’incompatibilité avec les valeurs essentielles de la communauté française, et notamment avec le principe d’égalité des sexes". que dire alors des satanistes, des masochistes, des Hardeuses dans les films pornographiques. nous pouvons même, puisque le conseil d’état nous le permet maintenant, aller jusqu’aux femmes battues : pourquoi acceptent elles cette soumission, cette violence.... devront elles être déchues de leur nationalité.
Cette décision n’est acceptable que parcequ’elle concerne une musulmane et en filigrane l’islam. Et le politiquement correct est d’être islamophobe.
je suis musulman pratiquant, je ne suis pas pour la Burqa mais pour une séparation claire en sphère privée et publique n’était ce apas le message que nous n’avons cessé d’entendre lors du débat sur les signes ostentatoires.