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ulrich

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Homme sans qualités. Plus à l'aise dans les fins de siècle que dans les nouveaux millénaires, mais bon... quand il faut y aller, faut y aller.

Tableau de bord

  • Premier article le 26/02/2010
  • Modérateur depuis le 13/11/2012
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Derniers commentaires



  • ulrich ulrich 1er décembre 2012 12:57

    Bonjour Volt

    Merci de me suivre... et de me prolonger. Que d’énergie dans l’essence de ces pompes ! J’ai fait un premier saut en dehors du tableau, plutôt vers notre passé archaïque. Vous en faites un autre dans l’autre sens, vers notre présent pré-archaïque.

    « Gas » a été peint à l’époque de la voiture-reine, et il n’est pas sûr que Hopper, qui brûlait ses gallons comme les autres, ait été tellement nostalgique de l’ère des chevaux, même ailés. Mais ses pompes bien pleines nous founissent le carburant pour naviguer dans tous les sens...

    A propos de « Notre Dame d’hell land », de votre regard affûté et de vos remarques futées, quand pourra-t-on vous lire sur Agoravox ?     



  • ulrich ulrich 25 novembre 2012 16:47

    Votre commentaire me réjouit , car il illustre bien ce qu’on peut attendre d’une sur-interprétation bien engagée  : non pas un délire solitaire, mais une balle qui continue à rebondir et à déclencher de nouveaux échos - dans la Caverne en l’occurrence.

    Merci donc pour votre soleil double, votre triple Cerbère et votre anti-penseuse dépliée. Dont les pieds pointus - puisque vous les avez remarqués - ont bien sûr quelque chose de satyrique.

    Les grandes oeuvres ont ce pouvoir étrange de fonctionner par elles-mêmes et de faire entendre des harmoniques - pour peu qu’on gratte au bon endroit - que même leur auteur n’avait pas soupçonnées.

    Quant à votre allégorie finale sur la vaste caverne distribuée à domicile qui nous captive et nous libère - joker ! Il me semble tout de même qu’un théâtre d’ombre individuel - si virtuel soit-il - a un poids de réalité supérieur à celui de l’hallucination collective que vise le mythe de Platon. 



  • ulrich ulrich 15 août 2012 01:12

    Trop bien écrit, dommage de publier çà en plein mois d’août !

    Vous écrivez :
    "Quant aux socialistes, ils revendiquent également le confort des atomes mais ne parviennent pas à faire le deuil de la molécule et des liaisons organiques« .

    La métaphore est plaisante, mais le cultivateur d’avant 1789 n’était-il pas lui-aussi un atome, autrement désinserré que nous le sommes aujourd’hui, dans nos sociétés connectées ? A quelle »molécule" pensez-vous, la famille, l’Eglise ?

    Une autre métaphore à vous soumettre : nous avons toujours été atomisés, mais à l’intérieur de domaines plus ou moins grands (http://fr.wikipedia.org/wiki/Domaine_de_Weiss) : les phénomènes que vous décrivez ne seraient-il pas l’effet d’une aimantation puissamment entretenue ?



  • ulrich ulrich 7 février 2012 02:38

    L’éthique de la responsabilité s’applique-t-elle lorsque les effets sont hors de proportion avec les causes ? En ces temps boursouflés de moralisme et de bons sentiments, il importe de remarquer que le naufrage du Costa Concordia relève avant tout de la tragi-comédie. Les paquebots manquant de vergues, contentons-nous de siffler le capitaine avec l’air de sa propre sirène. 


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