Je vais te répondre : Ce que ce décret change c’est qu’il LIMITE l’usage des armes de maintien de l’ordre (grenades lacrymogènes, de désencerclement, lanceurs de balles en mousse (pas en plastique) etc...).
C’est donc l’exact contraire du titre lamentable de cet article.
Évidemment lorsqu’on est parfaitement néophyte sur le sujet du maintien de l’ordre, qu’on ignore tout de la classification des armes, qu’on ne fait pas la différence entre un décret et une loi et que de surcroit on est prêt à travestir la réalité pour la faire concorder avec un parti-pris : on s’appelle Lorelei et on écrit n’importe quoi.
Mais, Lorelei, j’imagine que c’est en parfaite conscience que tu as choisi ton pseudo.
Je le prends donc comme un clin d’œil à ceux qui les ont gardés ouverts (leurs yeux).
Pour les autres : Lorelei est le nom d’une nymphe qui attirait les navigateurs par ses chants (articles ?) sur le Rhin et leurs faisait faire naufrage (comme les sirènes de l’Iliade).
"Que
demande toute la foule moderne ? Elle demande à se mettre à genoux
devant l’or et devant la merde !... Elle a le goût du faux, du bidon, de
la farcie connerie, comme aucune foule n’eut jamais dans toutes les
pires antiquités... Du coup, on la gave, elle en crève... Et plus nulle,
plus insignifiante est l’idole choisie au départ, plus elle a de
chances de triompher dans le cœur des foules... mieux la publicité
s’accroche à sa nullité, pénètre, entraîne toute l’idolâtrie... Ce sont
les surfaces les plus lisses qui prennent le mieux la peinture." (Bagatelles pour un massacre)
Je repense à votre article. Il vient de me rendre un grand service.
Depuis bien longtemps ce genre de prose qui affirme sans sourciller des choses absolument inexactes, et connues comme telles par leurs auteurs, me met hors de moi.
Je pensais que l’origine de cette colère trouvait sa source dans une opposition politique ou une vision de la vie en société radicalement différente de la votre et de vos antrustions propagandistes.
Pourtant j’ai de nombreux proches dont les opinions sont très différentes des miennes avec qui je m’entend pourtant très bien et dont je reconnais la sincérité. Nous avons juste des points de vue divergents.
Or, tout en te répondant (bien inutilement), je viens de réaliser ce qui me révolte réellement : la falsification volontaire des faits.
Ce gout invraisemblable pour le faux, le bidonné et la tromperie me scandalise. Particulièrement quand il vient de gens ayant la capacité de faire preuve d’objectivité.
Cette méthode, qui vise à gagner les cœurs par le mensonge, tire partie de la paresse intellectuelle, de l’ignorance ou de l’inculture du public.
Melle LORELEI, par vos duperies répétées vous faites un tort considérable aux causes qui vous prétendez défendre et vous êtes l’ennemie de la vérité et de la sincérité.
Que vous ayez le front d’imposer votre propagande au nom de « la liberté d’expression » est un outrage à la mémoire de ceux qui ont conquis cette liberté. C’est aussi une insulte à l’intelligence.
Ton profil, Lorelei (auteur de l’article) est en parfaite contradiction avec ce que tu viens d’écrire. « J’aime que l’on analyse des sujets... faire la liaison des concepts voir plus loin que le bout de mon nez et des apparences » dis-tu. Et bien c’est raté, dans ton papier tout est faux, y compris le titre.
« Les anathèmes les tabous ne m’intéressent pas, ce sont selon moi les mamelles de la fin de toute liberté d’expression. » : Nous sommes bien d’accord. Et donc tu affirmes que les policiers peuvent tirer à balles réelles sur les manifestants ??? Sachant que c’est absolument faux. C’est pas un anathème ça ?