Je n’espère pas que vous compreniez mon texte, ni que vous l’accréditiez. Bien au contraire, la prudence est essentielle pour que nous évoluions vers cet idéal. Des gens comme vous sont nécessaires pour réformer la société et dénoncer les injustices. Je sais que nous déboucherons bientôt vers cet âge d’or, car je sens de l’amour en chacun de nous, je vois une étincelle dans l’oeil de chaque être, qui pourrait se traduire par un « je t’aime » Ne blâmez pas ceux qui cherchent à nous diviser, qui véhiculent des messages de haines, c’est la peur qui les anime, la peur de ne pas être aimé, offrez leur de l’amour et ils vous aimeront en retour. Mais ne me croyez pas après tout, restez sur vos gardes, je le redis : c’est nécessaire. Vous n’êtes pas encore prêt pour ce message. Je m’avance trop, je sais ...
Une erreur courante consiste à dire ou à écrire un virage à 360 degrés alors que c’est le sens de virage à 180 degrés qui est recherché. Il faut se rappeler qu’en parcourant 360 degrés, on se retrouve au point de départ puisqu’on décrit alors un cercle complet.
Ça fait 60 ans qu’on nous la promet cette troisième guerre mondiale, des milliers d’articles, de livres, de documentaires, de films ont déjà été créer sur le sujet. Les arguments sont presque toujours les mêmes, il suffit juste de changer le nom des pays belligérants, les causes et les conséquences au fil des époques. Je propose une vision totalement à l’opposée :
Ou ai-je dit : les libéraux sont lavés de tout soupçon ? Ou encore : le capitalisme n’a rien à avoir de près ou de loin avec le fascisme, ou toute sorte de dictature ?
Je sais pertinemment, que quelques-uns des grands groupes : Ford, Porsche, Hugo Boss … se sont associés, ont financé, ou soutenus les nazis. Mon sujet n’était pas : Abat la dictature, vive le capitalisme ! À ce que je sache … Donc cette polémique n’a pas lieu d’être. Je suis le premier à reconnaître la perfidie des libéraux, qui se soucient peu des considérations morales et œuvre pour le profit quelques soit les circonstances.
C’est
le documentaire "L’expérience de
la troisième vague" diffuser en exclusivité sur
la chaîne histoire
il y a deux semaines, qui m’a inspiré l’écriture de cet article. Et
c’est plus la question qui en ressort, que l’histoire en elle-même
qui m’intéresse :
une nouvelle dictature est-elle possible ?
Et
quoi qu’on en dise, le film est basé sur des faits réels, ensuite
tel qu’il est retranscrit, il est quasi-inévitable de tomber dans
des clichés. Mais ce n’est pas l’essentiel, c’est ce qui s’en
dégage, le fond qui importe. Ne vous basez pas uniquement sur des
détails pour juger de ce qui est bon ou mauvais.