Vous reprochez, entre autres à François Asselineau, des attaques caricaturales et des amalgames grossiers totalement dénués de fondements.
Pour l’instant cette votre réponse qui est caricaturale et totalement dénuée de contre arguments sur le fond de l’article. Comme l’a fait remarqué John Foster un peu plus bas, aucun de ceux ou celles qui sont en désaccord avec cet article n’a pour l’instant émis le moindre contre argument sérieux.
Moi, je ne suis pas nouveau. Nous avons déjà eu l’occasion d’échanger sur AV auparavant.
Finalement... à part le néant de vos exclamations, de vos raccourcis et clichés, de vos affirmations péremptoires mais sans argumentation, de vos sarcasmes et de votre ironie, de vos phrases grandiloquentes sonnant creux, de votre mauvaise foi... Quels sont les arguments ou contre-arguments solides et étayés que vous avez à opposer à cet article et de façon plus large aux analyses et solutions proposées par l’UPR et François Asselineau ?
Vous me rappelez certains personnages des comédies de Molière, qui lors de discussions, faute d’arguments pertinents et ne sachant plus quoi dire, n’ont plus que comme seule arme de pousser des exclamations, plus fortes les unes que les autres, pour essayer de déstabiliser l’interlocuteur auprès de l’auditoire, tandis qu’ils se ridiculisent et discréditent eux-mêmes en agissant de la sorte.
Vous reconnaissez donc venir ici déverser votre bile sur ceux que vous appelez les « opportunistes ». C’est parfaitement votre droit. D’autres avant vous s’y sont déjà essayé et s’y sont cassé les dents au point de se ridiculiser, soit par manque de lucidité, soit par mauvaise foi manifeste, ou bien encore par leur comportement à la limite de la grossièreté. Puisse cela ne pas être votre cas.
Vous dites : « la crise, il en parle, moi je la subie... » Est-ce une façon de reprocher à François Asselineau le fait d’être haut fonctionnaire, position qui lui permet effectivement très certainement de ressentir moins la crise que vous et moi ? Pensez-vous que sous prétexte qu’il est haut fonctionnaire, cela le disqualifie d’office pour parler de la crise, diffuser des analyses et proposer des solutions ?
Dans ce cas, vous ne faites que vous ajouter aux contradicteurs que j’ai déjà évoqués précédemment, et qui, incapables de pouvoir opposer des arguments de fond solides, incapables de faire face à la Réalité, et ne sachant plus quoi répondre, finissent par tenter de discréditer l’UPR en s’attaquant directement à ceux qui la représentent, c’est-à-dire son président, ses adhérents ou ses sympathisants. Et ce, en utilisant les armes des faibles : l’ironie, la moquerie, l’arrogance, l’aggressivité, les arguments ad hominem...
Je comprends que ce que vous appelez le style du « sans moi point de salut », et qui pourrait paraître au premier abord comme une certaine forme de suffisance, puisse vous déranger. Mais, pour avoir assisté à une série de conférences de François Asselineau dans le Nord Est de la France le printemps dernier, je peux vous livrer mon sentiment à son sujet : François Asselineau ne m’a jamais fait à aucun moment l’effet de quelqu’un d’arrogant, imbus de sa personne, sachant tout mieux que tout le monde.
Au contraire, il sait se montrer très à l’écoute de ses auditeurs et n’hésite pas à engager et prolonger le débat jusqu’à très tard après la fin de ses conférences.
Si lui-même, les adhérents et les sympathisants de l’UPR estiment que l’Union Populaire Républicaine est un parti politique de nature à pouvoir véritablement faire changer les choses, c’est parce qu’ils comparent constamment ce que dit et propose l’UPR à ce que disent et proposent les autres partis et qu’après comparaison, il s’avère bien que les analyses et propositions de l’UPR sont non seulement uniques mais aussi les plus pertinentes et les plus sérieuses, car s’appuyant sur une étude détaillée des textes européens, mais aussi des textes des autres partis politiques et des discours de leurs représentants.
Il suffit de suivre l’actualité traitant de l’Union Européenne et de l’Euro pour se rendre compte que celle-ci confirme pour ainsi dire quotidiennement les analyses de l’UPR.
Et quand vous dîtes que François Asselineau n’est pas le seul dans ce cas là, il apparaît pourtant clairement qu’il est le seul personnage politique aujourd’hui en France à dire ce qu’il dit. Même Marine Le Pen que vous placez face à Monsieur Sarkosy dans un éventuel duel au 2nd tour des présidentielles 2012, ne dit absolument pas la même chose. Pour s’en convaincre, il suffit de rechercher les informations à leur source.
Vous écrivez : « En fait, tout ce qu’il dit, on le savait deja ou presque.. » Et bien, peut-être que vous le saviez déjà et tant mieux pour vous. Mais je doute fort que la majorité des Français soient au courant et aient conscience de tout ce que révèle François Asselineau dans ses conférences sur les véritables tenants et aboutissants de l’Union Européenne, compte tenu de la propagande qui leur est continuellement infligée à travers les médias. D’ailleurs le succès grandissant que rencontre l’UPR et les adhésions toujours plus nombreuses tendent à prouver le contraire de ce que vous écrivez. Si les analyses et propositions de l’UPR étaient simplement du réchauffé, les gens s’en détourneraient vite.
Enfin, sachez que je n’estime pas faire partie d’une quelconque « avant petite garde [qui] protège la maison. » Je suis juste un adhérent qui a des convictions, qui n’a pas peur de les afficher, de les défendre et qui pense que celles-ci s’incarnent très bien à travers l’UPR.
On ne me paye pas pour mes commentaires et on ne m’a jamais rien promis en échange de ceux-ci. Et je pense que ce n’est certainement pas l’UPR qui aujourd’hui a le plus besoin de protection
François Asselineau a déjà répondu plusieurs fois, dans le présent fil de discussion, à ce type d’objections que comporte votre commentaire . Je vous invite donc à relire attentivement les réponses qu’il a données aux détracteurs suivants : Imhotep, Alchimie et Mor Aucon.
Puis-je également vous suggérer de consulter avec attention le site de l’UPR : http://www.u-p-r.fr , ou bien encore sa page facebook : https://www.facebook.com/upr.francoisasselineau . Ceci, afin de vous en faire une juste représentation, et pour que vous ne vous ajoutiez pas inutilement à la liste de ceux qui sont déjà venus ici déverser leur bile.
Il semblerait que vous n’ayez pas bien lu la réponse apportée par John Foster. L’UPR effectivement ne fera pas d’alliance avec un quelconque parti politique qui ne partage pas l’entièreté de ses analyses et de ses propositions.
Pouvez-nous dire quel autre parti politique aujourd’hui en France présente des analyses et solutions identiques à celles de François Asselineau et de l’UPR ? Et bien il n’y en a aucun autre. Il ne peut donc pas y avoir d’alliance.
Cela peut paraître effectivement très surprenant, dans un paysage politique français où les arrangements et petites combines entre partis et candidats sont fréquentes quand arrivent les élections. Et comme John Foster vous l’a déjà expliqué : « Nul doute que si l’UPR devait manquer à sa parole, ou devait voir sa probité mise à mal, l’UPR perdrait l’immense majorité de ses adhérents. »
Quant à savoir pour qui François Asselineau portera son élan au 2nd tour dans le cas d’un duel Sarkosi / Le Pen, j’ose présumer, et j’espère, qu’il donnera les mêmes consignes de vote qu’il avait données à ses adhérents lors du 2ème tour des dernières élections cantonales de mars 2011 :
Sachez bien cependant qu’à n’en pas douter François Asselineau, l’UPR, ses cadres et ses adhérents feront tout leur possible pour que les 500 signatures soient obtenues et que l’omerta qui pèse sur l’existence de l’Union Populaire Républicaine, ses analyses et ses solutions soit enfin levée.
PS : Pensez-vous encore vraiment que Mme Le Pen soit « anti Europe » ?