Pour vous, il y a les grandes et les petites
atrocités ?
N’ai-je pas écris : « N’en déplaisent à
certains activistes, ce n’est pas le nombre ou la qualification des
massacres qui fait l’horreur, mais cette abominable et fétide constante de
l’histoire » !
D’autre part, je n’ai pas à défendre les
Ottomans et je ne les défends pas.
Pour votre information, sachez que jusqu’à
la chute du mur de Berlin, le seul pays au monde dont le Chef d’Etat Major ne
fut pas issus des rangs de l’armée nationale, fut... la Bulgarie… le Chef d’Etat
Major était soviétique ! C’est-à-dire qu’après la libération du joug des ottomans,
la Bulgarie passa directement sous celui des russes, puis des soviétiques…
Oui, sans doute, l’Histoire n’est-elle pas une science (?)... mais assurément le résultat de nos actions... et nos actions... ne sont qu’une longue litanie de massacres d’un autre temps... Raison de plus pour ne pas la mettre entre les mains des politiques.
Cette
loi inique montre le mépris absolu du politique envers le citoyen. Au lieu de
légiférer et de créer une « police de la pensée », le politique ne devrait-il
œuvrer pour la recherche d’un règlement tenant compte de la vérité historique, combattant
ainsi mensonges et perversions, balayant ainsi l’obscurantisme, mettant fin à
certaines idées fausses sur la question turco-arménienne ?