@lacerta Et hop ! Encore 6 fautes d’orthographe en 14 mots ! Trop fort, le Lacerta ! Et en plus, il est content de lui ! « Mais t’es pire qu’une bête, hein ! T’as honte de rien ! » (Lino Ventura dans « Ne nous fâchons pas »).
@lacerta Et si vous appreniez à écrire correctement avant de venir ici ? Parce que là, c’est vraiment insupportable, votre orthographe, votre grammaire, votre syntaxe, tout cela est aussi confus que les pensées que vous essayez d’exprimer. Je le ressens personnellement comme une agression.
Je viens de lire cet article, et je suis très surprise de lire ses commentaires : Ils n’ont aucun rapport avec le texte, dont ils ont juste compris qu’il parlait de l’Apocalypse ; mais visiblement, j’ai l’impression d’être la seule a avoir lu votre texte, M. Mellifont ! vous vous êtes donné beaucoup de mal pour pas grand chose, finalement !
@Attila Je trouve l’analyse présentée ici simple et crédible, et j’ai plutôt l’impression que c’est votre esprit qui s’embrouille en raison de considérations historiques qui l’empêchent d’aller voir simplement au fond des choses.
L’idée de nature est induite par la loi de Moïse : les premiers préceptes qu’elle énonce sont naturels, c’est à dire qu’ils correspondent indéniablement à la nature humaine, c’est pourquoi on les retrouve dans toutes les cultures, même quand ils ne sont pas formalisés : « Tu ne tueras pas, tu ne voleras pas, tu ne commettras pas d’adultère », tout cela est inscrit dans la nature humaine avant même d’apparaître sur les Tables de la Loi de Moïse.
Même le premier précepte de la Loi, « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu » est inscrit dans la nature humaine : il n’existe aucune civilisation, même primitive, qui ne cherche à connaitre l’Auteur de ce monde : l’amour de Dieu, c’est à dire sa recherche, est donc le moteur principal de l’intelligence humaine, il est ce qui la pousse à la recherche de la connaissance.
Je suis donc d’accord avec l’auteur pour dire que la Loi de Moïse est naturelle, même si Moïse ne l’a pas lui-même qualifiée ainsi.
@Daniel PIGNARD « revenir à la parole » en prétendant mépriser 15 siècles peuplés de saints mystiques et de théologiens géniaux, voilà le signe indéniable d’un orgueil démesuré. La théologie de Luther est profondément défaillante, d’ailleurs le récit de sa vie sous la Réforme nous donne à voir un personnage affligeant, à mille lieues de la foi qu’il prétend connaitre mieux que tout le monde, alors qu’il l’a manifestement perdue en 1517...