100% raison à Yves Michaud. Dommage qu’il ne soit plus à l’Esprit Public
Et pourtant en lisant son interview : « J’aurais apprécié que ça se passe dans des conditions légèrement différentes et pas être congédié comme un domestique. » Pourquoi un domestique n’aurait pas droit à qq égards ?
« Philippe Meyer a écrit dans le temps un livre très bien qui s’appelle Le communisme est-il soluble dans l’alcool ? Il connaît très bien le fonctionnement soviétique, mais il le pratique aussi ! » Comme quoi il n’y a pas des hommes de pouvoir vertueux et d’autres qui ne le seraient pas. Il y a des contre-pouvoirs (comme Agoravox !!)
Je conviens que ceci est bien peu face à Finkielkraut qui tente de réhabiliter la pédophilie dont la pratique a pâti de la mauvaise presse de Dutrou explique-t-il en substance !!!
Petit bémol : je trouve toutefois que l’anglais est mieux enseigné que l’espagnol par exemple ; parce que l’anglais faisait plus place à la pratique et était moins abordé sous l’angle littéraire.
Sinon, la question du concours dépasse largement la question de l’enseignement de l’anglais : sera-t-on un bon prof parce qu’on a été un bon élève, voire une bête à concours ? Plus généralement comment distinguer un bon prof d’un prof moyen ?...
Oui, la ligne A est à la limite : les trains sont à touche-touche aux heures de pointe et c’est impressionnant. La seule variable d’ajustement semble aujourd’hui d’augmenter la capacité des trains avec des trains à deux étages. Mais les investissements ne sont pas à la hauteur.
La ligne B que je pratique aussi tous les jours est en retard un jour sur deux.
Il y a bien les projets du Grand Paris avec de nouvelles lignes autour de la capitale dont on peut espérer qu’elles vont délester les lignes actuelles. Mais quand tout ceci va-t-il voir le jour ?
Et comment s’y retrouver entre les différentes strates : le STIF, la RAPT, la SNCF, les nombreuses communes de la région parisienne, Paris, le département, la région, l’Etat...
Sur la forme, je partage les quelques réserves exprimées par Vincent dans cette article, comme je regrette que les allégations d’irrégularité soit passées complètement sous silence (tchoo/naudin). Mais faisons pas non plus mine de nous étonner : Eastwood ne se classe pas dans la catégorie « art & essai ». Et c’est sans doute ce qui m’a valu de passer quand même un bon moment.
Parce que l’intérêt du film est moins dans le rugby que la question du leadership, celui d’une équipe ou d’une nation à la croisée des chemins, entre la réconciliation et la tentation de la vengeance ou de la guerre civile.
C’est une aussi une opportunité d’entrevoir de manière plus personnelle la figure tellement médiatique de Nelson Mandela.