Observateur de la vie politique, économique et sociale, je choisis de publier sous pseudonyme lorsqu’il s’agit d’aborder des sujets qui s’écartent du politiquement correct.
dans un ouvrage [Olivier Pétré-Grenouilleau, Les traites négrières. Essai d’histoire globale, NRF, collection Bibliothèque des histoires, Paris, Gallimard, 2004, 468 pages] l’auteur estime, sur une douzaine de siècles,
- la traite atlantique à 11 millions d’individus
- et la traite orientale à 17 millions.
Merci à Bulgroz pour les précisions, j’en prends note... Je voulais simplement citer un exemple à travers l’AME qui, comme beaucoup d’institutions dont la création répond à des préoccupations « légitimes », se trouvent rapidement dévoyées...
Pour Hélioz, il existe peut être d’autres motivations à la migration, pour ma part, je m’en suis tenu à des aspects économiques...
Pour Masuyer, il n’est pas question de nier l’exploitation des travailleurs « au noir ». Il n’empêche que le problème de l’immigration existe.
Peut être serait-il temps de débattre de ce problème de façon apaisée, sans employer des arguments « massue » du type : si vous abordez ce sujet c’est que vous êtes un con de gauche qui n’a rien compris, ou bien un salaud de droite.