L'honnête homme d'aujourd'hui n'achète pas les journaux, ne regarde pas la télévision, il lit beaucoup et s'informe par l'Internet. C'est ce à quoi je tends.
@Yannick HERVE C’est une non-réponse - ce que vous faites dès que vous vous sentez au pied du mur. L’esquive et la pirouette sont apparemment votre marque de fabrique, l’arrogance en sus. L’analyse et les chiffres que vous mettez en avant ? Il en est d’autres qui ne sentent ni le rance ni l’aigreur qui caractérisent les vôtres. Vous donnez l’impression que clabauder sur le fondateur de l’UPR est chez vous une activité de plein temps. Allez-vous y passer le restant de votre vie ? Je vous promets que lorsque vous aurez tourné la page et que l’AFL aura fait la preuve de sa crédibilité, je m’y intéresserai de près.
Article fielleux du même tonneau que ceux déjà publiés par le sieur Yannick Hervé, les élections régionales et le score de l’UPR en sont le prétexte. Le procédé est vil. Que l’AFL montre ce dont elle capable et elle sera certainement suivie, mais la stratégie consistant à démolir François Asselineau et chasser sur ses terres ne va pas bien loin, c’est même minable. Il faudrait que vous tourniez la page, M. Yannick Hervé, et travailler à faire mieux que l’UPR pour devenir crédible.
Intéressante, l’approche sociologie du catholicisme français. Antonio, pourriez-vous dire à votre amie, que la philosophie ennuie parce qu’elle trouve ses valeurs dans la lecture des Evangiles, que les valeurs sont marchandes ? La maçonnerie, qui a tout corrompu, a imposé son lexique à tout le monde, y compris aux catholiques fervents. Un comble.
Enfin, l’observation de gros macho ne manque pas de finesse.
Antonio. Les religions ou les sectes universalistes ne portent pas en elles-mêmes l’hégémonisme ou l’impérialisme qu’on leur prête. Elles servent d’habillage à des desseins inavouables. Cela dépend donc des hommes ou des personnalités qui les représentent et qui agissent en leur nom. A cette réserve près, le rapport dialectique entre « identitarisme » et universalisme est bien vu. Enfin, votre sensibilité aux analyses de François Asselineau vous honore.