Le rhino a sûrement plus de conscience de soi que le bobo, donc
c’est les dents des gogochos qu’il faudrait réduire en poudre, suivant une ancienne grande traditionteutonne.
« Le chimpanzé connaît son nom, mais ne peux comprendre les pronoms Je, Tu etc... Car le mot Je est symbolisation de la conscience de soi, Je voyant Moi. Il en est de même du bobo, mais qui lui ne passe même pas le test de la tache devant le miroir, de Gallup. Bobo n’a même pas de nom, car il est le transparent multiethniqué » Éthologue
« D’abord, prouvez moi le libre arbitre avant de vous autoriser à condamner ! »
Bobo le nietzschéen de gogoche à la justice Taubira : le méchant est méchant car il est pôôôvre, le gentil est gentil car il est riche ... « gogoche du fric ..droidroite du fric ... »
Connaissez vous l’avorton crassaneleux de Nietzsche ? C’est la pierre de Spinoza ... mais assumée :
« La conscience n’est en somme qu’un réseau de communications d’homme à homme, ce n’est que comme telle qu’elle a été forcée de se développer : l’homme solitaire et bête de proie aurait pu s’en passer. Le fait que nos actes, nos pensées, nos sentiments, nos mouvements parviennent à notre conscience du moins en partie est la conséquence d’une terrible nécessité qui a longtemps dominé l’homme : étant l’animal qui courait le plus de dangers, il avait besoin d’aide et de protection, il avait besoin de ses semblables, il était forcé de savoir exprimer sa détresse, de savoir se rendre intelligible et pour tout la il lui fallait d’abord la « conscience », pour « savoir » lui-même ce qui lui manquait, « savoir » quelle était sa disposition d’esprit, « savoir » ce qu’il pensait. Car, je le répète, l’homme comme tout être vivant pense sans cesse, mais ne le sait pas ; la pensée qui devient consciente n’en est que la plus petite partie, disons : la partie la plus médiocre et la plus superficielle ; car c’est cette pensée consciente seulement qui s’effectue en paroles, c’est-à-dire en signes de communication par quoi l’origine même de la conscience se révèle. (…) Mon idée est, on le voit, que la conscience ne fait pas proprement partie de l’existence individuelle de l’homme, mais plutôt de ce qui appartient chez lui à la nature de la communauté et du troupeau ; que, par conséquent, la conscience n’est développée d’une façon subtile que par rapport à son utilité pour la communauté et le troupeau, donc que chacun de nous, malgré son désir de se comprendre soi-même aussi individuellement que possible, malgré son désir « de se connaître soi-même », ne prendra toujours conscience que de ce qu’il y a de non-individuel chez lui, de ce qui est « moyen » en lui, que notre pensée elle-même est sans cesse en quelque sorte écrasée par le caractère propre de la conscience, par le « génie de l’espèce » qui la commande et retraduite dans la perspective du troupeau. Tous nos actes sont au fond incomparablement personnels, uniques, immensément individuels, il n’y a à la aucun doute ; mais dès que nous les transcrivons dans la conscience, il ne parait plus qu’il en soit ainsi... » Nietzsche et l’avorton
UE Tafta, Bergé Ceta, Rothschild Drahi, Ma Crontesse bobo, ma houri des barbus, A nonante pour cent, ma colonie élit, Discrimination positive, sera mon du.
Bah ... putasse médiatique gogocho du Capital n’en parlera pas, et justice coloniale ne se précipitera pas ...
Colons ! Discriminons positif la pitance ! Dépeçons ces veaux passifs ! Gavons la Finance ! Mohamed ! Teddy ! Booba, Nattes et Touffa ! Bétonnez ! Pondez ! Votez bobo quintessence ! Pour la gloire de Rothschild et du Califat !
Le capital, dans la domination réalisée, organise sa critique, gogochisme, freudisme, sociétaliste, sans-frontièriste etc..., et son art déconstructiviste de toute culture, autre gland remplacement par pour négoce marchand : prébendier mondain - financier snob,
2 nombrils fallacieux négociant un nombrilisme crasseux
« J’hésite entre le monochromatique bleu Klein où le blanc monochromatique, mais c’est blanc ... où le carré noir Soulages si »in« .... ? » Putasse Bobo Chanel du Capital