Il est vrai qu’a notre époque nous vivons une vraie
dictature de la pensée un terrorisme intellectuel larvé de la pensée dominante
conforme qui tente de nous imposer ses concepts matinée de bonne intention
faisant usage de touts les ressors apparents de bons sentiments pour tenter de
rallier a leur idée une frange de la population en recherche d’identité ou tout
simplement mal informé se laissant embarquer sur le bateaudes émotions, relayé par une presse servile
acheté a coup de subventions. être un esprit indépendant, chacun de nous doit
faire un effort pour s’informer, faire
des recoupements, réfléchir par soi-même avant de se laisser leurrer
systématiquement par une opinion majoritaire qui voudrait formater nos esprits
,ils comptent sur l’effet de groupe ou il est plus difficile dans une conversation
de salon ,ou un groupe de pression de faire valoir un discourt discordant,
ouun avis radicalement différent, car
on sait bien que l’on va être jeté au banc, hué, discrédité, et il est bien
plus facile dans ce cas de figure de faire profil bas afin d’éviter de se
retrouver en position d’infériorité flagrante. Néanmoins même si l’on ne peut
en toutes circonstances défendre sa vision des choses, il me paraît dangereux
de constater ces dérives de la pensée « structurante » qui utilisent
toutes les ficelles pour vous discréditer et tenter de bâillonner toutes
opinions discordantes, en vous traitant de complotiste, de partisan de la
théorie du complot, ou tout autre argument, il faut absolument, calomnier,
déstabiliser tout jugement divergeant serrez les rangs on ne veut voir qu’une
tête.
C’est un problème grave pour la démocratie qui est en crise
profonde. La manipulation mentale, le terrorisme d’état, la géopolitique de
confort sont les signes d’un monde en crise ou chacun de nous doit trouver son
chemin.
Enfin une bonne nouvelle marre
de ces projets pharaonique sans financement prévu, ceux qui ont été finalisées
l’ont été avec des dépassements de budget public. le précédent gouvernement
avait prévu nombres de projet non budgétés, ce qui en cas de défaite est un
sacré cadeau, et en cas de victoire une bonne partie eut été abandonné faute de
moyens.
Le
coût hasardeux des grands projets culturels
Preuve en est que les grands
travaux sont toujours hasardeux pour les finances publiques, les quatre projets
culturels, maintenus par la ministre et dont les travaux seront achevés d’ici
un ou deux ans, ont tous dépassé les enveloppes de dépenses initiales.
L’Assemblée nationale s’en était déjà inquiétée il y a un an dans son rapport
sur le budget. La Philharmonie (dont le coût total était estimé à 336,5
millions d’euros financé par l’Etat, la Ville de Paris et la Région Ile de
France), le Musée Picasso (45 millions d’euros) de Paris, le Mucem de Marseille
220 millions d’euros) , et le transfert des Archives nationales à Pierrefitte
(275 millions d’euros), devaient faire en 2012 l’objet de « dépassements
notables », comme le soulignait déjà en octobre 2011, le rapport de l’Assemblée
nationale sur le budget de la culture.
Il y a un an, d’autres dépenses
publiques inquiétaient également les députés de l’ancienne majorité. Qu’il
s’agisse de l’extension du Palais de Tokyo (20 millions d’euros), de la
rénovation du Théatre de Chaillot (18 millions d’euros), du réaménagement de
l’Opéra comique (18 millions) ou de la restructuration du quadrilatère
Richelieu (150 millions d’euros). Le rapporteur du budget Gilles Carrez avait
donc fustigé le dépassement de dépenses estimé à 60 millions d’euros.
On ne compte plus les aides et
taxes : Fonds de soutien pour le cinéma français, taxe sur les
livres,(5,5%) taxe sur les support culturels cd dvd, etc. Adopi j’en
passe et des meilleures.
_751 690 529 Euros pour la Diplomatie Culturelle et
d’influence.
_2 598 027 879 Euros pour la Culture (dont 1 057 513 781 Euros pour la
Transmission des savoirs et la Démocratisation de la Culture).
_1 248 263 591 Euros pour le programme « Médias,
livre et industries culturelles. »
Bon je suis pas contre la
culture, mais, force et de constater qu’en période de crise entre la relance de
l’industrie (emploi ) des arbitrages prioritaires devront être fait,
chacun n’ayant évidemment pas en tête les mêmes intérêts. vous nous dites la filière musicale dans toute sa composante est sous le choc
sans blague !, excusez moi
de ne pouvoir pleurer pour eux, je n’ai plus assez de larmes .
Ne vous inquiétez pas trop nos
politiques nous trouverons d’autres taxe pour ça ils sont très forts pour ça.
D’ailleurs Le Sénateur Philippe Marini a des idées lui.
Pas mieux …on s’en tape le coquillard des problèmes d’égaux,
on s’en badigeonne le nombril avec le pinceau de l’indifférence. pour ce que ça
rapporte au pays, c’est pas ces soi-disant visionnaire qui vont sortir le pays
de l’ornière. ces faux prophètes imbus de leur personnes et de leur statut
social. Harlem Désir, copé, fillon, morano et consors, ça occupe le terrain
médiatique, mais les problèmes demeurent. Voilà le résultat de 50 ans d’alternances
le vide sidéral...
Pitoyable cette classe politique ça ressemble au bal des
faux derche, quelle bande de suce boule, je désespère de cette « élite
qui nous gouverne » le culte de la personnalité n’est pas mort loin sans
faut, cette grande messe de la médiocrité n’a qu’une utilité servir les
courtisans ou cas ou le « petit » reviendrais sur le devant de la
scène politique la logique si logique il y a en politique voudrais qu’il y ait
un retour sur investissement. servir la France ne les intéresse que très peux,
par contre se servir…
Allez Nadine et consorts encore un effort dans le
ridicule vous pouvez faire beaucoup mieux.
Etre conforme ça forme des cons. [Patrick Vernier]
c’est avec une profonde tristesse que j’apprends la mort de
Paul Villach c’était souvent avec un réel plaisir que je lisais ses articles, être
d’accord ou pas avec ses opinions n’était pas tant le problème que l’angle
d’attaque ou son logiciel personnel qui nous permettais d’entrevoir les choses
au travers de sa vision des problèmes .
Comme disait oscar wide influencer quelqu’un c’est lui donner son ame.
nul doute, qu’avant de partir que tu nous a laisser une petite partie de la tienne.