@Rik.D "Pour windsor j’ai dit qu’une partie de l’acier n’avait
pas de protection, mais en fait c’est la TOUT l’acier qui n’a AUCUNE
protection. Donc 3h a 4h a 800° sans protection avant de s’effondrer."
Avant de s’effondrer partiellement, non ? je croyais que l’incendie avait durer au total 24 heures... Vous avez un lien pour l’absence de protection ?
La FEMA déclare avoir constaté d’importantes traces de
corrosion et l’érosion sur des échantillons de métal venant des tours jumelles et du WTC7, ce qui constitue d’après eux « un événement tout à fait inhabituel » et précise qu’"aucune explication
claire sur l’origine du soufre n’a été trouvée« . Bref, ils finissent par jeter l’éponge et conclut dans leur rapport qu’il faudrait poursuivre les analyses pour comprendre ce mystère... Là-dessus, le NIST se ramène, enquête pendant trois ans avec 300 ingénieurs mais non, ils décident de ne pas écouter la FEMA !!! Et vous tranquillou, vous écrivez : »Non ça ne m’interpelle pas, le NIST on lui a poser des questions, il y répond dans la mesure de ses moyens." Pour votre gouverne, le budget du NIST fut de 20 millions de dollars... Notez, je vous comprends : tant qu’à dire n’importe quoi, autant y aller à fond !
Ah, et dernière précision : cette expérience basique (pour déterminer si les panneaux de gypse ont pu être à l’origine de la formation du mélange
eutectique responsable de la corrosion extrême observée sur pièces de
métal analysés par la FEMA) a été menée par un ingénieur dans son jardin !!! Et pas de chance, l’acier n’a présenté aucune trace de corrosion... Tout est expliqué là : http://www.reopen911.info/11-septembre/2154/#b
[22] : Si certaines personnes sont effectivement convaincues la participation directe (voir cette note) ou indirecte (voir cette note) du gouvernement américain, rappelons que la majorité des sceptiques face aux nombreuses incohérences de la thèse officielle se contente de réclamer une nouvelle enquête (approfondie et réellement indépendante) laissant de côté les scénarios alternatifs forcément spéculatifs (c’est la position de ReOpen911).
@sls0 « La note[5] parle des tours jumelles, je réponds par rapport aux tours jumelles. »
Donc la note 5 :
[5] : Ce point est loin d’être anecdotique et a d’ailleurs été présenté par le New York Times comme « peut-être le plus grand mystère soulevé par les investigations ».
Et pourtant quand le NIST publie trois ans plus tard son volumineux
rapport de 10000 pages, il n’y aura nulle trace de l’étude détaillée,
préconisée par les chercheurs de la FEMA, nécessaire selon eux pour
expliquer comment de solides poutres d’acier ont pu se transformer en un
véritable gruyère...Comment ne pas s’interroger sur un tel « oubli » ?
La note 5 ne donne pas d’indication contrairement à ce que vous affirmez. Est-on d’accord sur ce point ? Par contre elle pose une question très intéressante, à savoir pourquoi le NIST s’est dispensé de l’étude pourtant préconisée par la FEMA pour comprendre comment
de solides poutres d’acier ont pu se transformer en un
véritable gruyère. Cet « oubli » ne vous interpelle pas ?
Comme vous l’a fait remarquer pemile à plusieurs reprises la note 5 parle de l’appendice C de la FEMA : "
la FEMA confirme dans l’appendice C de son rapport de mai 2002 la présence d’acier ayant partiellement fondu dans les décombres des tours : « l’importante
corrosion et l’érosion qui s’en est suivie sur les échantillons 1 et 2
constituent un événement tout à fait inhabituel. Aucune explication
claire sur l’origine du soufre n’a été trouvée. (…) Une étude détaillée
des mécanismes ayant engendré ce phénomène est nécessaire ».[5]«
Il suffit d’aller consulter l’appendice C pour voir que l’échantillon 1 vient bien du WTC7 et l’échantillon 2 vient d’une des deux tours jumelles.
»
Les suppositions je les laisse à reopen, je préfère le mesurable et le calculable.« Elle est bien bonne celle-là Juste avant vous écriviez pourtant : »Ayant déjà forgé la gueule du fer à cheval risque
d’être triste au bout de 5h mais comme j’en ai jamais fait l’expérience
je ne peu faire que des suppositions qui n’ont pas de valeur formelle
donc je ferme ma gueule.«
"comment voulez vous que les temoins apercevoient
distinctement une fumée alors que la distance entre le poteau et le
batiment corrélé a la vitesse de l’appareil signifie qu’il ne s’est
écoulé peut etre qu’une seconde ou deux maxi entre les impacts du poteau
et du batiment ?«
Cet élément a été pris en compte de l’article : »Certes, il existe des
divergences parmi les témoignages [14]
mais cela n’est guère étonnant lorsqu’on sait que le vol AA77 se
déplaçait en fin de course à 850 km/h à quelques mètres du sol (et à 70
cm du sol au moment de l’impact [15])
et ce dans un environnement urbain. A une telle vitesse, les témoins du
crash n’ont eu au mieux que quelques secondes pour voir la scène«
Vous avancez ensuite l’hypothèse :
»vous oubliez dailleurs une chose fondamentale sur les temoignages : le
reflexe d’un humain voyant un avion s’ecraser sur un batiment si proche
est de tourner la tete pour se protéger .on voit ainsi mal comment la
plupart auraient vu dans le detail l’impact."
Vous déformez les propos de l’auteur. Jamais, ce dernier n’a écrit que la plupart des témoins aurait dû voir dans le détail l’impact. Le problème soulevé dans l’article est qu’il n’y a aucun témoin qui dit avoir vu cette imposante traînée blanche. Vous expliquez l’absence de témoignage de cette fumée blanche par le réflexe qui ferait tourner la tête pour se protéger. Peut-être que certains ont effectivement détourné les yeux mais un paquet de témoins ont bien observé la scène dans son intégralité et ont décrit la scène du crash et pourtant aucun n’a mentionné la traînée blanche. Aucun. Je vous renvoie à la note 14 qu’apparemment vous avez zappé :
[14] :
Par exemple, certains témoins mentionnent un « angle de piqué
incroyable », d’autres non, certains témoins ont vu l’avion pencher à
gauche, d’autres à droite, pour l’un l’avion a percuté un hélicoptère
garé à l’héliport, pour un autre l’avion a violemment heurté le sol,
selon un autre encore, le train d’atterrissage était sorti, certains
disent que les volets des hublots étaient baissés alors que d’autres
déclarent avoir vu les visages des passagers, etc. Mais, rappelons-le,
il n’y a rien d’étonnant à ce que les témoignages divergent étant donné
la brièveté et rapidité de l’événement.
Pour finir, je vous invite à lire le témoignage de Noel Sepulveda :
“The plane’s right wheel struck a light pole, causing
it to fly at a 45-degree angle", he said. The plane tried to recover, but
hit a second light pole and continued flying at an angle.” (Pittsburgh Post-Gazette - 20 09 201)
Traduction
:
“La
roue droite a heurté un lampadaire, le faisant voler avec un angle de 45
degrés, dit il. L’avion a tenté de se remettre en ligne, mais il a heurté un
second lampadaire, et a continué à voler en crabe. »