Tout à fait d’accord avec vous, pour la première fois de ma courte expérience présidentielle (je suis de 1973), je partage ce sentiment, je vois même des signes de fraudes dans les médias (complices, évidemment). Rien que le fait de me poser la question je me dis : triste France. En ce qui concerne Mélenchon, donc l’article, je partage nombre d’idées avec lui , notamment sur la politique intérieure... mais bon, comment voter pour un type qui dit que Hugo Chavez est un type bien et que la révolution cubaine a été « une belle révolution » ( petite pensée pour ce crétin de « boucher de la citadelle », les Cubains comprendront au moins...). Triste France, c’est vraiment devenu pathétique entre les politiques détachés des réalités humaines et les crétins lobotomisés qui les suivent, et apparemment ils sont nombreux... RECLAMONS LE DECOMPTE DES VOTES BLANCS, VOIRE DES VOTES NULS (j’ai voté Mickey, sérieusement) ET VOYONS CE QUI CE PASSE
PS (@ l’auteur) : mauvais choix de photo pour l’article. A croire que ça vous plait tous ces amalgames... Vous êtes nombreux à faire chier de nos jours, extrémistes comme « pro-démocractistes » (comme si c’était devenu un effet de mode).
L’analphabétisme tue. Il tue la pensée, tout simplement. On peut dire ce qu’on veut, chaque pensée est justifiable. Le problème de l’analphabétisme est bien plus important que ce qu’on croit : il ne ne donne plus aucune chance à l’oeuf qui engendre la poule. Pourtant, la vie c’est ça : l’oeuf qui engendre la poule. Inch’Allah, paix à votre âme, tout ce que vous vous voudrez, le résultat est le même : tous égaux, tous à la même enseigne. Simplement, les points de vue divergent, c’est ce qui crée le trouble... Même pas honte d’être français, honte d’être humain, tout simplement. J’en ai marre de toutes vos conneries, il me devient difficile de vivre en paix, à moi et à ma famille. J’en ai marre.
J’ai voté « oui » pour votre article, Bernard, parce que j’aime toujours le côté émotif de vos articles tout en restant relativement pragmatique (euh, euh). Où va-t’on ? La question est là, tranchante, comme à chaque époque serais-je tenté de dire... Soyons raisonnables, posons la vraie question : que voulons-nous ? Un monde de spéculations, d’effets d’annonce, de combien vaut un grain de riz par rapport à l’ouverture de la bourse de New York (ou Paris, ou Tokyo, ou Etc) ?! Faut pas tomber dans le mélodrame, ça fait leur jeu... Voilà ce que je dis. Arrêter de donner de l’importance à des gens qui veulent trop en avoir, de l’importance. Des fois, vous m’inquiétez, vous semblez tomber dans ce psychodrame médiatico-financio-politique avec la passion qui vous anime... et ça fait relativement plaisir ! Mais bon, quelle est la question ? La révolution va peut-être avoir lieu, avec ses drames (réels) et ses espérances (à faire). ARRETONS LES CRITIQUES, PASSONS AUX PROPOSITIONS PUIS A L’ACTION. C’est marrant, les commentaires font de plus en plus souvent référence à l’étincelle « salutaire »... Alors, la philosophie...devrait redevenir ce qu’elle est originellement : l’acte ! Bonne année 2012, bonne révolution j’espère ^^ (les vessies pour des lanternes, ah...)