Le vrai con n’est pas celui qui surexploite la planête. Il est souvent plus instruit que le con de masse et donc, a une bonne idée de ce à quoi il s’expose (convaincu que le temps venu, quelque chose lui permettra de se sauver [ et c’est là qu’il est con ]).
Non, le con est celui qui, collectivement, peut détenir l’avenir radieux d’une société humaine et humaniste, et qui, individuellement bosse 8 à 12h par jour pour un salaire de misère, en bavant sur son con de voisin parce que celui-ci a fait l’acquisiton dela dernière connerie inventée par le surexploiteur (encore une fois loin d’être con).
Le même con à qui on annonce dans le même temps, des paradis fixcaux à hauteur de 25.500 milliards d’€, et la nécessité de « faire des efforts »pour sauver sa nation . . . de cons
Comme celui qui crève de faim sur les terres de son continent (africain) alors que celles-ci recellent de toutes les richesses dont les moins cons abusent pendant qu’ils font s’entretuer les cons affamés.
Je n’aime pas l’idée d’attendre dans la misère, la même fin que celui qui l’attend dans un luxe inacceptable.
Cons du monde, unissons nous, et supprimons l’essence même de notre connerie : l’individualisme prôné par les moins cons ( vous vous rappelez ? ceux du début ! ! )
Soyons sérieux ! ! Cet individu, représentant et chien de garde du capitalisme (le plus extrême), est entouré de secrétaires personnels, conseillers personnels, penseurs personnels (là je plaisante, j’espère que lui seul est capable d’éructer un tel fiel).
Il se fout ouvertement de la gueule du peuple . . . et ça marche.
Qu’il nous parle de sa retraite, de ses avantages d’ex ministre de l’intérieur . . .