Permettez-moi de vous poser une simple question : accepteriez-vous de débattre avec moi de l’existence des chambres à gaz homicide dans les camps allemands entre 1941 et 1945 ? Ce débat serait naturellement fait en privé (avec un public qui payerait un droit d’entrée), mais intégralement filmé avec deux caméras, l’une fixée en permanence sur vous, l’autre sur moi. Par la suite, les enregistrements seraient dépubliqués en deux exemplaires, l’un vous serait donné, l’autre me serait donné, avec liberté pour chacun d’en faire ce qu’il veut.
En espérant vous lire bientôt, je vous prie de croire, cher morice, en l’expression de mes sentiments choisis.