ça vient des gaufres, les belges ont le même problème
plus sérieusement et comme l’indique d’ailleurs l’article sur slate.fr, ces statistiques en reflètent pas la réalité, il n’y a malheureusement pas moins d’affaires de ce genre dans le reste de la france
on parle un peu plus qu’avant des viols et violences faites aux femmes, je me réjouis que ce tabou saute enfin petit à petit, il est grand temps.
par contre on ne parle jamais des viols commis sur des hommes ni de l’inceste dont des garçons sont victimes, ni en algérie ni en france. ou alors on en parle juste en disant que tel ou tel violeur a été abusé dans son enfance (sous-entendant d’ailleurs assez dangereusement que les chiens ne font pas des chats et que la répétition est automatique...). cet aveux montre pourtant que ça existe aussi, que les petits garçons et les hommes victimes ne sont pas juste imaginaires mais existent bel et bien mais ne sont reconnu que lorsqu’ils deviennent pour une partie d’entre eux, assez paradoxalement sur-médiatisé, bourreaux à leur tour.
peut-être est-ce le prochain tabou à sauter, du moins je l’espère car il serait grand temps aussi.