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VivreDifferent

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Ingénieur, mon domicile varie au gré des missions. J’essaie de porter un regard critique sur le monde qui m’entoure, et partager ce que je sais comme ce que je crois ; en tentant de garder à l’esprit que savoir reconnaître l’étendue de son ignorance est peut-être la connaissance la plus précieuse...
Aime :
  • les utopies,
  • les opinions « hérétiques »,
  • la remise en cause des préjugés, notamment économiques et politiques.
N’aime pas :
  • les journalistes qui exploitent des statistiques sans rien y comprendre,
  • les politiques qui enchaînent les argumentations viciées,
  • la paresse ordinaire de la pensée qui nous conduit à camper sur nos positions par confort intellectuel, et à refuser de considérer ce qu’il y a d’intelligent dans les propos de l’autre.

Tableau de bord

  • Premier article le 03/03/2010
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Derniers commentaires



  • VivreDifferent VivreDifferent 28 août 2009 07:28

    « Non il n’est pas normal que l’on puisse demander à des gens de contribuer plus de 50% de leurs revenus au titre de l’impôt »
    Moi ça me fait bien rire leur bouclier fiscal à 50% qui ne prend en compte que les impôts directs. Si je fais le calcul, pour un salaire inférieur à la moyenne nationale, et sans autres sources de revenus, l’Etat prélève plus de 120% de ce que je gagne ! Je suppose donc que la plupart des gens payent proportionnellement beaucoup plus que ceux concernés par le bouclier fiscal. (pour ceux-là, en plus, une grande partie des revenus peut être transformée en épargne défiscalisée ou avec une fiscalité dérisoire). Mais bien sûr, l’individu lambda ne s’en rend pas compte, puisque la majeure partie de ce qui est prélevée sur notre travail, notre consommation, sont des impôts indirects... Avant de faire le calcul, je pensais que je payais 9% d’impôts !



  • VivreDifferent VivreDifferent 27 août 2009 22:58

    Je ne sais pas d’où sort ce palmarès, mais le dernier que j’ai vu basé sur des TOEFL n’était pas du tout exploitable, d’un pur point de vue statistique (mais exploité par tous les médias bien sûr) : en effet, il se basait sur des populations très différentes en nombre suivant les pays, et sans aucune méthode de quota ou autre qui puisse justifier que la comparaison ait un sens (une personne qui étudie pour devenir interprète aura probablement un meilleur niveau qu’un étudiant dans un domaine technique !).

    Sinon, l’anglais est une très mauvaise langue pour les communications internationales, mais il faut pas rêver : les politiques sont beaucoup trop frileux pour avoir une vision linguistique ambitieuse (ça ne coûterait pourtant pas bien cher de soutenir l’esperanto, par exemple, dont l’usage répandu ferait économiser des milliards et créerait un boom dans les relations internationales sans précédent dans l’Histoire). Et l’anglais gardera probablement encore longtemps sa position dominante, car les rapports de force entre langues reposent en grande partie sur l’inertie. (ce qui explique que le latin et le francais soient restés des langues internationales longtemps après que la puissance de leurs pays respectifs aient décliné, et même entièrement disparu pour le latin.)



  • VivreDifferent VivreDifferent 27 août 2009 22:34

    Cet article est intéressant, mais il me semble qu’il prend le problème du mauvais côté : la politique n’a guère de prise sur la natalité, à moins de devenir complètement intrusive dans notre vie privée, ce que quasi personne ne souhaite. Et je doute que les gens se restreignent
    par eux-mêmes de procréer pour éviter une supposée surpopulation.

    La question à se poser serait plutôt : devant ce constat d’une « forte » natalité en France, comment agir au mieux pour accueillir ces enfants, et les voir non comme une menace, mais comme une nouvelle promesse ? La réponse ne passe pas forcément (que) par l’Etat, dont les compétences en matière d’éducation, d’apprentissage et de développement personnel sont largement insuffisantes.



  • VivreDifferent VivreDifferent 27 août 2009 21:49

    Il existe déjà bien des alternatives aux majors. De nombreux artistes aujourd’hui se sont lancés sans leur aide. Et le résultat est, à mon avis, artistiquement souvent bien plus intéressant.

    Bien sûr, ils ne bénéficient pas de la même publicité, et il faut chercher un peu plus pour les trouver.

    La question du système de rémunération est aussi de savoir si le critère de rémunération doit vraiment être proportionnel aux nombres de disques vendus ? Historiquement, d’autres systèmes ont existé, comme le mécénat. Bon nombre des chefs d’oeuvre classiques, dans tous les arts, ont été produits grâce à des mécènes. Aujourd’hui, l’informatique permet de démocratiser le mécénat : en France je connais Spidart qui développe ce modèle pour la musique, mais il doit en exister plein d’autres qui émergent, et cela malgré une politique culturelle et un milieu économique peu favorable.



  • VivreDifferent VivreDifferent 27 août 2009 21:36

    Il y a une réelle place pour un Parti Pirate dans la France (et le monde) d’aujourd’hui. Son apparition est aussi nécessaire que l’était celle des partis écologistes dans les années 70. L’informatique et surtout l’Internet ont bouleversé notre rapport à la la diffusion de la culture, à la création artistique. On a désormais un contenu (musique, vidéo, livre...) quasiment dématérialisé, avec des échanges directs entre utilisateurs, ce qui rend caduques les raisons qui avaient conduit à établir la plupart des lois sur la propriété intellectuelle. En effet, les lois doivent-elles servir à maximiser l’argent produit par le commerce de produits artistiques et apparentés, ou aider à diffuser la culture et favoriser la création artistique dans sa diversité, en la rendant accessible à tout un chacun ?

    Or, ces questions sont majeures, puisqu’indirectement elles posent la question de la démocratie, du libéralisme, de la distribution des richesses, et plein d’autres encore.

    Mais la création d’un Parti ex nihilo reste un défi majeur. Et paradoxalement, plus les partis sont petits, plus les opinions sont diverses, et plus le consensus est difficile. Regardez déjà le NPA, les Verts...

    En tout cas, ça pourrait bien être une aventure passionnante. A suivre...

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