Il faut arrêter avec cette nostalgie « d’hier c’était mieux, on était plus libre ». Cette période n’était pas aussi faste que les mémoires défaillantes d’aujourd’hui le laissent croire. Ceux qui disent que c’était une belle époque regrette une seule chose : leur jeunesse.
Je suis de ces temps là, et désolée de le dire, mais tout n’y était pas rose. On apprenait à l’école autant de stupidités qu’aujourd’hui. On n’y apprenait pas plus à penser qu’aujourd’hui. L’époque était tout pareillement difficile et aujourd’hui on se berce d’illusions en disant que hier on était plus heureux.
En 1973, alors qu’il y avait beaucoup moins de voitures qu’aujourd’hui, on comptait 17 000 tués sur les routes (chiffres à consulter sur le site de la sécurité routière).
Fin des années 60 début des années 70, quand on était fonctionnaire d’Etat, on n’avait pas intérêt à lire ouvertement « Le canard enchainé » sinon on avait la hiérarchie sur le dos. Tu parles d’une liberté de penser !!! etc, etc...
Comme pour toutes les époques, la vie est un mélange de bonnes et de moins bonnes choses, de malheurs et de bonheurs... Apprécions le présent, et au lieu de râler, que chacun se demande ce qu’il peut faire de mieux pour lui, pour les autres et pour son pays.
Je crois que « Epad » veut dire aussi : Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes, ah non dans ce cas on écrit Ehpad... bon mais en ce moment les « Jean, fils de.. » donnent du grain à moudre aux médias.
Il y a un autre prince Jean, authentique celui-là et héritier de la famille d’Orléans , est indigné parce que son père Henri d’Orléans vient d’épouser religieusement sa deuxième femme. Jusque là rien d’anormal, sauf que le dit Henri d’Orléans, a fait annulé auprès des hautes autorités catholiques son mariage avec sa première femme, la duchesse de Wurtemberg, pour mariage non consommé, mais il lui a quand même fait 5 enfants qu’elle a élevé seule !!!
Ce prince Jean soit dit en passant est titulaire lui d’une maîtrise de droit spécialisée dans les relations internationales.... (Midi Libre du samedi 9 oct 2009), oui mais il a 44 ans, peut être pourrait-il postuler à la présidence de l’Epad de la défense ??? C’est un fait ces histoires de princes font vraiment désordre, ainsi en va-t-il des puissants d’hier et d’aujourd’hui.
Mais on le sait bien, la politique n’aime pas beaucoup les jeunots de 23 ans. Gageons que les « Machiavel » de la politique à l’oeuvre dans les coulisses du pouvoir trouveront bien un scénario pour déglinguer cette grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf. A ciao
L’Atlantide est une fabuleuse histoire, parce que c’est une histoire sans fin. Tous les lieux pourraient être ce lieu magique et chacun a sa théorie. Que ce soit en livre, en film ou en BD, l’Atlantide excite l’imaginaire. Découvrir l’Atlantide pourrait profondément nous décevoir. La réalité pourrait tuer le rêve, alors désolée pour la science Armelle, mais j’espère que jamais on ne saura, car pour vivre on a besoin de rêves et l’Atlantide est un rêve fabuleux...
Mais continuer de chercher...
Je n’ai pas lu le livre de Régis Debray, mais d’après l’article la proposition de créer "Bioland" sur un territoire perdu du Larzac me fait penser au livre de Jean-Michel Truong : "Eternity express" paru en 2003 chez Albin Michel. Un roman exceptionnel et terrifiant aux frontières de la science-fiction et de la philosophie. le thème :
"Les vieux, qu’en faire ? C’est le fléau du troisième millénaire. Ils vont coûter de plus en plus cher. Soucieuse de rentabilité, l’Europe décide de les délocaliser... en Chine ! Est-ce mieux ? La réponse est au bout d’un long voyage en train à travers les steppes. " Arrivés à destination les vieux découvrent ... A lire pour avoir froid dans le dos et plus...
Curieuse époque où chacun, jeune, toujours jeune, encore jeune, moins jeune ou plus très jeune a un besoin irrépressible de reconnaissance, d’attention, d’affection ? A croire que la planète est déserte...
Vieillir ne fait pas plaisir, mais comme dit l’humoriste c’est le seul moyen à notre disposition pour vivre longtemps.
Apprendre la philosophie dès la 6ème et même avant est le passeport pour mieux penser. Et ne dites pas qu’il faut d’abord maîtriser la langue, tout s’apprend et la philosophie y contribue.
Pour apprendre la philosophie aux enfants, rien de mieux que l’excellent ouvage paru chez Albin Michel en 2006 (13,50€) , "Les Philo-Fables" de Michel Piquemal, instituteur puis scénariste et auteur pour la jeunesse, livre illustré par Philippe Lagautrière.
Les Philo-Fables : "des fables simples et riches de sens tirées de la philosophie occidentale, de la mythologie et des sagesses d’Orient. 60 fables accompagnées de questions, de repères et de mots-clés... Voilà de quoi aider les enfants, dès 9 ans, à franchir la porte de l’atelier de philosophie. A lire pour le plaisir de penser plus grand et plus loin".
L’atelier de philosophie, chaque classe devrait avoir le sien. Les enfants aiment les histoires et ces fables très courtes sont , à leur échelle, une véritable découverte de la philosophie et donc de la vie.