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vlb95400

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Habitant de Villiers le bel depuis 25 ans, je suis un vieux con de 61 qui en a marre de voir le mépris envers nos mômes.

Tableau de bord

  • Premier article le 12/12/2007
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Derniers commentaires



  • vlb95400 vlb95400 11 décembre 2007 15:43

    Yehi asher yehi : Je suis celui qui suis, donc rien à voir avec le tétragramme qui date de Ezra.

    En ce qui concerne l’alphabet, allez voir à

    http://pedroiy.free.fr/alphabets/protosinaique.htm



  • vlb95400 vlb95400 11 décembre 2007 15:34

    Bien sûr, la Bible a été révisitée par Ezra qui, lui, a créé le monothéisme.

    Avant lui, comme dans le Temple de Salomon, la déité était double (Elohim), composé de celui que l’on connait sous le nom de YHWH mais également de son épouse ou sa consorte Ashera.

    Et les enfants de Jacob s’installèrent dans le delta du Nil et ils vivaient en paix avec les Egyptiens et leurs ennemis car en ce temps là, le Roi d’Egypte était un asiatique venu de Canaan et non un africain.

    Après qu’Horemheb, celui qui ne connaissait pas Joseph, eu chassé du pouvoir Akhenaton l’exalté, il décida que ces pasteurs étrangers qui vivaient là depuis plus de 300 ans et n’honoraient qu’un seul Dieu devaient se mettre au travail et il les embaucha à la construction des villes, ainsi firent après lui Toutankhamon, Ay, Ramsès I et Seti le bâtisseur.

    Lorsque Ramsès II, le Grand Roi, décida que ces Habirou insuffisamment intégrés ne devaient pas quitter son service, il les asservit, les forçant même à bâtir sa ville de Pi-Ramsès avec des briques sans paille, chose stupide puisque sa grandiose capitale est retournée à la boue du Nil, ne laissant que quelques géants de pierre brisés.

    On parle de ROI lors de l’arrivée en Egypte et de PHARAON lors du départ...

    Les Asiatiques, c’étaient les Hyksos qui ont regné sur le delta à partir de -1650 environ

    Un de leurs rois s’appelait Yakoub-Er (-1634) et son petit fils Apopis, très proche du Yoseph que nous connaissons.

    Après Akhenaton le monothéiste, vint Horemheb qui mit en esclavage de nombreux peuples nomades.

    Si on estime que les Hébreux ont quitté l’Égypte vers -1250, on trouve une période de 400 ans solaires, donc 434 années lunaires. Quand aux ages théoriques dans les livres, quel aurait été celui de la fille du Pharaon qui a adopté Moshé ?

    N’oublions pas qu’au moment de l’Exode, elle a épousé Mered, donc si Moshe avait 80 ans, on imagine l’état de cette pauvre « Bythia ».

    Et n’oublions pas qu’en Egypte, une fille pouvait être veuve à 3 ans, ce qui expliquerait le geste caractériel et égoïste qu’elle a eu à vouloir ce poupon qui flottait dans son couffin. J’estime que c’est la seule personne à qui les juifs doivent quelque chose pour s’être fait personnellement plaisir.

    Et le fils ainé de Pharaon est mort à l’age de 43 ans en combattant des sémites dans la vallées du Nil



  • vlb95400 vlb95400 11 décembre 2007 15:28

    C’est au IVème siècle et grâce à Hélène, mère de Constantin, que le christianisme s’est développé à Rome et dans l’Empire.

    Fascinée par les histoires entendues sur le christianisme, elle ordonna des fouilles à Jérusalem pour découvrir des vestiges et mit la main sur « un morceau de la Vraie Croix », ce qui la convainquit et la fit se convertir. Elle fit bâtir l’église du Saint Sépulcre à Jérusalem et encouragea son fils à se convertir.

    Cette époque, c’était celle de la chute de l’Empire Romain d’Occident et les conflits étaient permanents pour le poste d’empereur.

    En 312, Constantin, qui gouvernait la Gaule et la Grande-Bretagne et qui favorisait les Chrétiens, attaqua Maxence qui régnait sur l’Italie et l’Afrique. Les armées de Constantin fondirent sur Rome, écrasèrent celles de son rival à Turin, puis au Pont Milvius, dans les faubourgs de Rome, où leur chef trouva la mort, noyé dans le Tibre par où il tentait de s’enfuir avec ses troupes débandées.

    La légende dit qu’avant cette bataille décisive, Constantin ait eu une vision d’une croix dans le ciel avec les mots IN HOC SIGNO VINCES, « Par ce signe, tu vaincras ».

    Tandis qu’il assiégeait Maxence dans Rome, une croix lumineuse lui parut en l’air devant tout le monde avec une inscription qui lui promettait la victoire [...]

    Le lendemain il gagna cette célèbre bataille qui défit Rome d’un tyran et l’Église d’un persécuteur ; la croix fut étalée comme la défense du peuple romain et de tout l’empire. (Bossuet, Historique I, 11.)

    Mais Constantin était plus proche des Arianistes, effrayé par la relation du Père et du Fils, et ses relations avec les chrétiens étaient plus politiques que religieuses, les communautés lui ayant apporté leur soutien dans ses différents conflits.

    C’est l’arianisme qui est, pourtant, à la base de la Trinité et base son principe suivant le fait que Dieu est « non créé », que le Fils est « créé » donc que le Fils n’est pas Dieu mais témoigne de Dieu, chose que refuse l’Eglise de Rome.

    « L’arianisme enseigne deux dieux, un incréé et un créé, un élevé et un subordonné ; on tombe ainsi dans le polythéisme. De même, l’arianisme remet l’enseignement du salut chrétien en question, puisque, outre dieu pouvant sauver la création, une créature le peut aussi. Si Jésus n’est pas de même nature que Dieu, les hommes ne peuvent devenir des enfants de Dieu. »

    Bien que considérée comme hérétique, cette thèse est pourtant développée par un des pères de l’église, Eusèbe qui développera parallèlement la théorie d’un second Dieu. Le Premier étant pur esprit a confié à son pendant une structure d’homme et le pouvoir de créer les choses. Le premier livre de l’Histoire ecclésiastique possède un statut tout à fait particulier dans l’organisation de l’œuvre : consacré entièrement à Jésus-Christ, il n’envisage pas encore l’histoire de l’Église proprement dite, avec les thèmes qui seront déclinés dans toute l’œuvre (l’histoire de l’orthodoxie, l’histoire des hérésies, les malheurs des juifs, le canon, les persécutions). C’est la raison pour laquelle Eusèbe le considère comme un « prélude ».

    L’empereur Constantin reçut enfin le baptême sur son lit de mort des mains de l’évêque Eusèbe de Nicomédie, un arianiste, le 22 mai 337.

    Dans une lettre qu’il aurait écrit au pape Silvère, on trouve cette « Donation de Constantin », testament dans lequel il reconnait au pape la primauté spirituelle sur tous les évêques et lui donne l’autorité temporelle sur Rome et sa région, donc offre l’empire à l’Eglise de Rome. Ce document n’est qu’un faux du VIIIème siècle monté pour justifier la création de l’État pontifical par Pépin le Bref.

    Baptisé par un prêtre « hérétique » après une vie de massacres et d’assassinats, meurtrier de sa femme et de son fils et parjure à tous ses engagements, Constantin fut malgré tout canonisé comme le seront plus tard de nombreux meurtriers. smiley

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