Cet article est d’autant plus intéressant qu’il traite d’un problème rarement abordé, celui de la machine infernale qui se met en route. Comme il ne faut pas dire qu’un enfant est épileptique, dire qu’on a failli passer pour d’ignobles parents ...car traqué par les services d....
Notre fils ainé avait des quelques difficultés scolaires en classe de cinquième et moi dépassée j’en conviens par une double vie professionnelle que connaissent bien les femmes de commerçant, le travail de salariée et la comptabilité de l’entreprise de mon mari le soir, le week-end. Nous avons donc eu recours à une jeune fille pour l’aide aux devoirs. Nous n’avons rien vu venir...et puis un jour la DASS chercha à joindre séparément le père et la mère de l’enfant " battu". Message, sur portable, comme celui-ci ne répondait pas appels sur mon lieu de travail, sur le portable de mon mari, à son numéro professionnel, sur notre ligne personnelle où un autre de nos enfants a répondu qu’il ne pouvait passer personne parce que sa mère travaillait loin et son père se reposait (retour de l’hopital après un grave problème de santé...)..Le ciel venait de nous tomber sur la tête....La MACHINE INFERNALE ETAIT LANCEE DANS UNE COURSE FOLLE. Les services de la DASS voulaient nous rencontrer, séparément, père, mère, frère....et surtout très rapidement..... Ce fût fait mais pas tout à fait comme l’avait laissé supposer l’auteur du dossier qui décrivait des parents qui ne s’occupaient de leurs enfants que pour crier et punir après avoir frappé et non seulement l’ainé mais tout autant son frère. iI a déjà fallu attendre que mon mari aille mieux et ce n’est pas ce genre de dossier qui vous permet de guérir plus vite. On se demande vraiment ce qui peut motiver quelqu’un à monter un tel dossier...sauf ...dans les cas réels de maltraitance.
Lorque les "enquêteurs’ se sont déplacés" après l’envoi de courriers qui vous mettent volontairement la pression, ils ont découvert une autre vérité d’autant plus que notre fils nous avait dit entre temps que la personne lui avait monté la tête au point d’être soulagé de voir que l’on savait enfin et qu’il pouvait se confier à nous. Il ne savait en effet pas comment faire pour dire ce qu’on lui avait conseillé pour que " sa vie change" . Oui, il a reçu quelques claques dans sa vie d’enfant mais rien d’anormal, rien à voir avec la maltraitance, inversement proportionnel à l’amour et aux bisous. Dans notre cas, nous sommes parvenus à faire comprendre la vérité de notre vie. Des parents bien occupés mais qui font de leur mieux pour leurs enfants. Après nos témoignages, une commission s’est réunie pour étudier notre cas. Quelques temps nous avons reçu un courrier comme quoi ils classaient l’affaire. Notre fils aussi était un enfant battu tout comme la fille de vos amis. J’espère que cela se terminera bien pour eux aussi.
Notre fils a désormais 17 ans, il est délégué de sa classe et a encore été félicité ce trimestre pour son attitude sérieuse. Il est bien dans sa tête, n’est pas bagarr...eur. Alors laissez nous éduquer nos enfants.
Les enseignants sont bridés, si une claque toutefois leur échappe, les parents se révoltent et donnent raison, pour la plupart, à leur enfant. Puis la machine judiciaire se met en route comme l’actualité nous l’a montré récemment. Ne revenons pas en arrière mais allons de l’avant en laissant un peu de place à l’autorité. L’enfant roi, lui donner ce que l’on n’a pas eu : un portable, un lecteur mMP3, des NIKE aux pieds sinon rien, internet dans sa chambre et le scooter à 1 500 euros garé au pied de la piscine...parfois gonflable. et surtout ne pas le contrarier. Alors après le prof est ignoble s’il confisque le portable parce qu’il sonne en cours, les parents sont soupçonneux s’ils mettent un code sur l’ordinateur. il faut vivre avec son temps... mais instaurer quelques limites et respecter quelques règles de base de vie peut encore permettre à nos enfants de se construire. Parents, restons vigilents car nos"bambins"sont exigeants.
Nous n’avons rien pu faire pour l’auteur identifié même si la DASS nous a confirmé que nous avions bien cerné l’origine de la source,mais ils n’ont pas à le dire, chacun de nous est libre...de monter un dossier.
et je vous promets que la conviction des services est là à priori.
La presse s’engouffre dans toutes les brèches qui alimentent son chiffre d’affaire Chacun se défend de la lire et jette un coup d’oeil discret chez son coifffeur. Même chez les spécialistes où l’on ne trouvait que des revues sur l’art gothique ou les courses de trotteurs, du people se glisse et si quelques pages sont consacrées à Mr SARKOSI et à sa nouvelle épouse (ou à la précédente), les pages sont généralement manquantes.
Chacun d’entre nous joue ce jeu, le nombre de connexions sur cet article et l’article lui-même le prouvent. Mais cela ne tient pas seulement à ce président, la princesse Diana a été traitée de la même façon sans avoir donné son accord le jour de sa mort et à quoi aurions nous eu droit si Me ROYALE avait été en lieu et place de Mr SARKOSI.
Sarko et Ségo...cela ne laisse que peu de distance entre le citoyen et l’élu.
L’article a l’avantage d’avoir lancé le débat mais il se noye pourtant dans sa longueur.