Ce qui m’interpelle et que l’on oublie un peu vite pour aller chercher qui a fait quoi et qui doit faire quoi, c’est que le résultat est DEMOCRATIQUE et que l’analyse des résultats ne peut être réellement discutée qu’APRES les mesures que va prendre le FUTUR président ainsi que l’équipe qu’il mettra en place APRES les légilatives avec une majorité ELUE. Poser une telle question, comme sujet de débat, maintenant ne fait qu’alimenter des conjonctures et mettre de l’huile sur le feu. Ne pensez pas que le résultat me plaise ou pas, ce n’est pas le sujet. Le sujet est va-t’on reconnaître une bonne fois pour toutes que nous sommes dans une DEMOCRATIE et que chacun a droit à son opinion pour autant qu’elle ne nuise à quiconque aussi bien en actes qu’en paroles. Désolé mais il n’y a pas de haine dans mes propos envers l’auteur mais une tentative de recentrer le propos de sa question et de sa lecture des sondages là où il devraient être, c-à-d. dans le néant. Car osez prétendre que quelqu’un, en le ciblant, ait pu voter NS ou SR, est le marquer par l’opprobre et n’est pas le fait d’un propos très démocratique. Vous ai-je demandé pour qui vous avez voté ?
La France n’a jamais été si riche qu’aujourd’hui !!!
Oh, oui, elle fut plus riche et il ne faut pas remonter bien loin dans le temps, mais vous n’étiez peut-être pas né en 1981. Lorsque le mentor de SR est arrivé au pouvoir, il (l’état)n’avait pas de dettes et la BNF avait de sérieuses réserves monétaires. Mais la volonté d’appliquer une politique sociale à outrances afin que vous, les jeunes d’alors, ayez une sécu. Avec des défauts je vous l’accorde.
Mais, le peuple l’a payé et l’état s’est ruiné. Nous avons eu entre 1981 et 1986 cinq dévaluations et nos réserves monétaires ont fondus comme neige au soleil. Certains s’en souviennent et delà est parti notre dette dont on nous parle si souvent et qui est devenue ce qu’elle est : colossale. Je pense qu’ une partie de nos ainés se sont rendus compte de cela et qu’une politique où le tout à l’assistanat et le social à outrance ne pouvait qu’amener à une nouvelle catastrophe.
Bien sur, me direz-vous, tonton a été réélu, mais ce ne fut que pour un temps et la politique du « Panem et circenses » des romains n’a pu durer. Il n’y a rien à faire, il faut pouvoir dégager des richesses pour créer une forme de bien-être.