Nb : le nouveau siège de Luxotica - Essilor est a Paris. Pour votre info, je ne suis pas Spartacus. Et ce ne sont certainement pas les theories de M. MELENCHON qui creront de l’emploi dans ce pays pour vos enfants et vos petits enfants, et qui permettront de payer vos retraites. L’Etat ne cree aucune richesse, il coute ! Seul l’entreprise privée cree de la richesse et de l’emploi, et seul le capitalisme a permis de sortir de la misere des milliards de chinois, indiens et africains. M. Chavez n’a reussi qu’a mettre son pays en faillite et au bord de la guerr civile.
Pas très familier de votre média, j’avoue être assez déçu de cet article, qui n’est pas pour le coup un article favorisant l’information et l’agora vox objectif, mais plutôt de la propagande et du « catéchisme » de gauche ou nationaliste très convenu, et de la désinformation du public en matière économique. Vous affirmez en effet : « le laisser-solder de notre industrie. Après avoir soutenu la vente d’une partie d’Alstom à GE sous Hollande,le laisser-solder de notre industrie... la poursuite de la vente de notre patrimoine industriel ... » A vous entendre, les entreprises françaises seraient la proie des autres pays notamment européens.
C’EST FAUX ! Et ce genre de patriotisme économique a fait perdurer dans notre pays des handicaps sérieux pour adapter notre économie à la mondialisation, tout en créant un chômage structurel depuis 40 ans !
LES ENTREPRISES FRANCAISES RACHETENT DAVANTAGE D’ENTREPRISES ITALIENNES ET ALLEMANDES QUE L’INVERSE ! Les Italiens nous ont laissé racheter 8 fleurons de leur économie depuis 20 ans, et non des moindres. Le dernier en date (janvier 2017) Luxotica, leader mondial de la lunette (montures), rachetée par Essilor (leader mondial français des verres), 15 milliards € de CA, 140.000 salariés ; on peut continuer la liste : Telecom Italia, 1er actionnaire Bolloré, Lactalis (français, fromage, lait) devient le leader mondial de l’agro-alimentaire (devant Danone et Nestlé) en rachetant Parmalat (italien), etc. etc.
Depuis 2009, les entreprises tricolores sont plus nombreuses à racheter des PME allemandes que l’inverse. "L’émotion suscitée, dans l’Hexagone, par
la fusion entre Siemens et Alstom dans le ferroviaire ne doit pas faire
oublier une tout autre réalité : actuellement, ce sont plutôt les
entreprises françaises qui rachètent des sociétés allemandes, et non
l’inverse. Et la tendance est à la hausse depuis quelques années. « En 2016,
la France était ex aequo avec la Suisse au troisième rang des
investisseurs étrangers en Allemagne, derrière le Royaume-Uni et les
Etats-Unis, grâce à la multiplication des opérations de fusion et
d’acquisition » (Le Monde, 29/09/2017),
DE GRACE, QUE L’ON ARRETE CE DISCOURS NATIONALISTE ET QUE L’ON LAISSE FAIRE LES ENTREPRENEURS ! QUE LES POLITIQUES, FUSSENT-ILS SEGUIN OU CHEVENEMENT, S’OCCUPENT D’ABORD DE REFORMER L’ETAT FRANCAIS EN FAILLITE, PRINCIPAL HANDICAP POUR NOTRE ECONOMIE. Cette politique désastreuse des Enarques en France depuis 40 ans (de droite comme de gauche) n’a pas protégé les plus faibles, au contraire. Elle a au contraire affaibli notre économie. Vive ... le libéralisme !
Je suis toujours assez amusé de la présentation unilatérale que fait la Presse de Mme Badinter. La philosophe !
Combien savent que Mme Badinter est la fille de Marcel Bleustein Blanchet, fondateur de Publicis, 3ème groupe de publicité (français) dans le monde. Mme Badinter détient 10 % des actions de Publicis, soit une capitalisation boursière d’une valeur d’environ 500 millions d’euros, qui fait d’elle la 61 ème fortune de France, Présidente du Conseil de Surveillance de Publicis. Je trouve qu’il est toujours bon de rappeler la situation des personnes pour mettre en perspective ce qu’elles disent : selon Acrimed (je cite : http://www.acrimed.org/article1393.html)
..."Reste à déterminer quelle est la véritable « identité » de l’auteure de ces lignes : l’essayiste de XY. De l¹identité masculine ou la présidente du conseil de surveillance de Publicis ?
Fille de Marcel Bleustein Blanchet, fondateur de ce groupe
publicitaire dont elle est le premier actionnaire avec 12% du capital,
Elisabeth Badiner assume en effet sans barguigner un héritage paternel
qui véhicule encore aujourd’hui des représentations sexistes de la
femme. Ne doit-on pas à Publicis, en 2002, cette campagne de la marque
de soutien-gorge Barbara qui faisait dire à une mannequin dénudée
« quand on me dit non j¹enlève mon pull » ou « mon banquier me préfère
à découvert » ?"
NB : Acrimed est une association qui milite contre les abus de la publicité.