Super éloquente votre image cynique de Depardieu se suicidant devant l’hotel des impôts, contrastant avec la réalité sinistre d’un illustre anonyme chômeur s’immolant devant Pole Emploi ...
Le triste reflet de notre « société libérale, » qui n’a « d’avancée » que sa totale décomposition, sa totale régression de fait, qui est aujourd’hui redevenue, par la faute de l’aveuglement ou de la passivité des uns, et par la trahison l’intrigue et la manipulation des autres, comment dire ?
Invivable, Imbuvable !... Une « jungle » plus qu’une « société » digne de ce nom et digne de nous. Totalement injuste, inéquitable, esclavagiste, colossalement « féodale », inhumaine, et cruelle !...
Quand on contemple l’histoire de notre Nation et qu’on y constate qu’il a fallu malheureusement plusieurs siècles à nos aïeux pour le réveil et la prise de conscience des abus de pouvoir de certains sur les masses, et donc des générations sacrifiées de nos aïeux, pour se débarrasser enfin de ce népotisme féodal, du « droit divin »et du « roi soleil ».
Et pour, finalement, y revenir aujourd’hui en marche arrière toute !.....
Alors, on se dit qu’on n’est pas re-sortis de l’auberge et que nous aurons encore « droit » à quelques générations sacrifiées par immolation ou autre sur l’autel du « libéralisme de droit divin » et du « saint pognon » !...
Et si le « libéralisme » sauvage n’était finalement qu’une « royauté travestie », une sinistre et cynique réalité emballée à la sauce cadeau empoisonné, un concept connu pour ses cruautés, son « vocabulaire et ses slogans choisis à dessein », un « néo-esclavagisme masqué ».
D’accord avec votre analyse. 1) l’euro se porte mal parce qu’il n’était pas prévu que depuis sa mise sur le marché l’Europe politique suprantionale et fédérale soit en panne totale et ne se fasse pas. 2) La crise de l’Euro est doncd’abord une crise politique de l’Europe qui rejaillit sur la confiance des marchés financiers dans l’Euro. 2) Il serait très grave que l’euro éclate. Ce serait non seulement la fin de l’euro mais aussi la paupérisation des peuples de l’ex zone euro, la poussée des nationalismes les plus extrêmistes, bref ! le retour à l’explosive situation d’avant guerre de 39-45. 3) Nous n’avons pas d’autre choix, comme le propose Merkel, que de faire ce gouvernement démocratique européen qui garantisse enfin une cohérence et une réactivité politique dans tous les domaines critiques.