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wangpi

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"Quelque critiques que puissent être la situation et les circonstances où vous vous trouvez, ne désespérez de rien ; c’est dans les occasions où tout est à craindre, qu’il ne faut rien craindre ; c’est lorsque l’on est environné de tous les dangers, qu’il n’en faut redouter aucun ; c’est lorsqu’on est sans aucune ressource, qu’il faut compter sur toutes ; c’est lorsqu’on est surpris, qu’il faut surprendre l’ennemi lui-même."
Sun Tse (L’Art de la guerre)

Tableau de bord

  • Premier article le 05/12/2007
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Derniers commentaires



  • wangpi wangpi 28 avril 2008 12:47

    "Qui plus est, les nouvelles technologies ont accrues de manière considérable (parfois excessive) la transparence : pour reprendre l’adage populaire, grâce à Internet "tout finit par se savoir". L’idée, pour les puissants, de travestir la réalité pour qu’elle apparaisse aux foules telle qu’ils la souhaitent plutôt que telle qu’elle est, s’avère de plus en plus périlleuse à mettre en œuvre."

    On ne saurait mieux dire.

    Mais en quoi la transparence pourrait être "excessive" ?

    Je pense que "vive la république" n’aime pas la liberté. Je pense qu’ils ne savent même pas ce que ce mot veut dire.

    "L’intérêt de cette démarche est avant tout de retrouver du sens, ce qui conduit à une situation paradoxale : plutôt que d’inquiéter, la théorie du complot rassure. Qu’importe que le monde soit dirigé par des personnes peu scrupuleuses, au moins y’a-t-il quelqu’un aux commandes, semblent se réjouir inconsciemment les adeptes du complot."

    C’est en effet très rassurant d’être "gouverné" par des jobards. "vive la république" est un agrégat d’individus souffrant de troubles psychiatriques avérés, donnant une nouvelle définition de la paranoïa, ô combien lumineuse.

    La paranoïa était, jusqu’à présent, une attitude mentale qui justifiait par des rationalisations une erreur qui éloignait visiblement de la compréhension réelle du monde.

    La paranoïa version redeckerienne-républicaine est inverse : elle paraît tomber plus près d’une compréhension exacte que la déficiente explication officielle du pouvoir en place.

    Allez comprendre !

     



  • wangpi wangpi 25 avril 2008 17:08

    je me demande ce qui me dégoute le plus...

    L’ordure ou les commentaires sur l’ordure.

    Allez Dugué, relis Heiddeger, Ducasse, que sais-je, rends ta carte...

    La retraite a du bon, elle est même parfois historiquement justifiée.



  • wangpi wangpi 25 avril 2008 17:04

    "Je suis bien d’accord, hélas, il est peut-être déjà trop tard et je ne suis pas optimiste du tout, mais quelque soit l’étendue de la catastrophe, il faudra bien s’organiser autrement."

    Tu t’es lu quand t’as bu ?

    Allez, c’est pas la peine, c’est la mienne, qu’est-ce que tu prends ?



  • wangpi wangpi 24 avril 2008 15:52

    Lerma s’identifie si pleinement au dogme de ses patrons qu’il ne peut que l’ignorer...

    Quand je dis Lerma, je pense bien sûr à l’officine de petits agents serviles dont il n’est que l’avatar.

    Ignorance, servilité, ressentiment, agitation vaine, pseudo-critique, beuuurk.

     

     

     



  • wangpi wangpi 24 avril 2008 15:03

    @ désuet... qui porte si bien son nom.

    en quoi la beauté de mes maîtresses serait-elle "péteuse" ?

    et en quoi l’humilité (cette vertu que les médiocres enseignent aux meilleurs, disait Chateaubriand je crois) serait-elle bienfaisante ?

    qui vous autorise à déceler une quelconque souffrance dans mon exil volontaire (commencé à 14 ans...) ?

    et en quoi ma situation, que vous ne supputez qu’à l’aune de votre soumission, serait-elle "misérable" ?

    "Le seul bonheur honorable étant celui que l’on partage, il n’est permis à personne, dans ce monde, de faire le fier, à part ceux qui travaillent activement à son "évolution" (ou destruction si vous préférez). Mais ceux là sont morts et enterrés, sinon ça se saurait."

    Qui peut vous assurer de ma "solitude" ? Et en quoi le "travail", à quelque entreprise que ce soit, serait la panacée à quoi que ce soit ?

    Ce qui "se sait" n’a aucune espèce d’importance. Ce que nous vivons est tout.

     "De toute façon sachez qu’on peut apprecier votre joli exercice de style puisé aux meilleures sources et inspiré des meilleurs auteurs mais le trouver un peu vain."

    Qu’est-ce qui est le plus vain, de puiser aux meilleures sources, ou d’ériger sa sagesse désabusée (mais sûrement pas si désintéressée que ça...) en visa pour l’impuissance.

    A mon avis, ce dont l’époque a besoin c’est du "mot juste" qui la rappelera à l’ordre (ou au désordre) comme d’autres ont su si bien le faire en d’autres temps.

    Allez, pour faire plaisir à vos supérieurs...

    "Discrédite le bien. Compromets les chefs. Ebranle leur foi. Utilise des hommes vils. Désorganise l’autorité. Sème la discorde entre les citoyens. Excite jeunes contre vieux. Ridiculise les traditions. Perturbe le ravitaillement. Répands la luxure. etc. etc."

    Non monsieur désuet, le mot juste n’existe pas, il n’existe que la perception de l’instant, le jeu, la quantité de jouissance que vous emporterez dans votre tombe.

    L’époque n’a besoin de rien, ne mérite rien, se consume sous mes yeux amusés ; se moque bien des gens "intelligents",

    Un mot juste pour finir ?

    Non.

     

     

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