Bien sûr, Daniel a raison, ce n’est pas encore demain qu’on verra nos dirigeants se mettre à dos les banquiers et s’attaquer aux « paradis fiscaux », malgré tout ce qu’ils disent. Sarkozy le premier, il n’a rien fait, bien au contraire, on l’a bien vu. Ils sont tous plus ou moins véreux, corrompus, menteurs. Et leur copain Cahuzac en rigole ! Ils auraient pu le mettre en taule, mais non, ils le respectent tellement ! Quel panier de crabes ! Moi, je ferais davantage confiance en Jean-Luc Mélenchon....
Nos politiciens ont un faible envers les financiers qui mènent le monde, ils ont toujours laissé les banques faire ce qu’elles voulaient pour s’enrichir et escroquer le populo. Balzac en parlait déjà dans ses romans et une de ces nouvelles où il décrit l’état d’esprit d’un caissier de banque à la vue de tout l’argent qui file devant ses yeux à longueur de journée... il est possédé par le diable de ce monde, l’argent, comme il est dit dans l’Evangile qu’il faut savoir choisir entre la voie de Dieu ou Mannon, l’argent-roi (Melmoth réconcilié, par H. de Balzac)... pour entrer dans le Royaume des cieux et y demeurer dans la Paix.
D’autres ont déjà écrit sur la Haute Finance qui mène le monde... On se demande comment certains arrivent à être si riches alors que plus d’un milliard de gens souffrent de la famine dans le monde... Le secret est dans la Bible : Deuteronome, Chap. XV, v. 5-6 (« ...à de nombreuses nations tu prêteras sans avoir besoin d’emprunter toi-même : tu domineras sur beaucoup de nations et elles ne domineront point sur toi. »)
La faute est à la Constitution Française écrite par Michel Debré et proposée par Charles de Gaulle en 1958, le peu de démocratie a été balayé d’un revers de main. Quant aux élus socialistes, savez-vous ce qu’en a dit Danièle Mitterrand ? « qu’ils ont tous été élevés au biberon du libéralisme » ! Tout le monde doit savoir que le néolibéralisme a déclaré la guerre à tout ce qui est social, état républicain, services publics, indépendance financière et monétaire, banque nationale... Les premiers libéraux à avoir réformé la Banque de France sont le Président Pompidou et ce « libéral avancé » de VGE : ils sont à l’origine de la vertigineuse dette publique et des conséquences désastreuses de l’abandon de toute politique monétaire en France.