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wieeinstlilimarleen

Qui suis-je ? Pour faire simple et court, je suis qu’un Français parmi tant d’autres qui aime sa Nation en tant que poursuite de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Liberté, Égalité, Fraternité, voici une devise qui me sied. Gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple, voilà un principe qui me plaît. Je suis par conséquent hostile à tout ce qui ôte le cratos des mains du demos, à tout ce qui déconstitue le demos.

Tableau de bord

  • Premier article le 22/05/2006
  • Modérateur depuis le 26/06/2006
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Derniers commentaires



  • wieeinstlilimarleen 12 mai 2008 18:01

    Ce qui est épatant, dans votre analyse, Jahlouse, c’est que d’un côté, vous dites qu’il y a là une démarche artistique, sans message ou alors avec un message qui n’est pas celui attaqué par l’auteur de l’article, mais dans le même temps, d’un autre côté, vous nous balancez un laïus légitimant la violence décriée par l’auteur de l’article.

    Avant de prétendre à donner des leçons de communication, mettez-vous au clair sur le message que vous entendez transmettre.



  • wieeinstlilimarleen 12 mai 2008 17:44

    J’hésite entre la consternation et l’hilarité lorsque je lis que « nous avons grandi dans une des conjonctures les plus difficiles de l’histoire ».

    Quelles sont les difficultés de la vie dans la France des années 90 ?

    Le travail à la mine ? N’existe plus. Le travail à 12 ans ? N’existe plus. La guerre ? N’existe plus. La famine ? N’existe plus, tous les enfants ont de quoi manger. La misère ? N’existe plus, tous les enfants ont un toit, et souvent même une télé. Les châtiments corporels et l’oppression psychologique à l’école ? N’existent plus.

    Drôle de conjoncture difficile que celle où tous les besoins essentiels, et même ceux parfaitement facultatifs, sont comblés.

    Les zones à forte délinquance sont invivables du fait de leur main-mise par des bandes de petits gamins. L’investissement quotidien qui y est fait, ne serait-ce que pour compenser les destructions gratuites, est largement supérieur aux investissements réalisés par le passé pour les générations précédentes.

    Une poignée d’emmerdeurs qui veulent en plus être pris pour des martyres, voilà tout.



  • wieeinstlilimarleen 16 avril 2008 21:01

    Vous m’avertirez quand un procès verbal sera rédigé pour un simple accident de voie publique...



  • wieeinstlilimarleen 16 avril 2008 21:00

    Première question : toutes les informations saisies sont destinées à figurer dans la procédure. Rien n’est donc fait à l’insu des intéressés. La procédure pénale en droit français est dite mixte : secrète lors des investigations, publique lors du jugement. Tous les procès-verbaux seront tôt ou tard public. Rien ne peut donc y être dissimulé.

    Seconde question : dans ARDOISE, il existe de nombreux champs qui peuvent être renseignés si une information semble utile à l’enquête en cours. Ca ne veut pas dire que tout doit être renseigné. Aucun policier ne questionne les victimes de pickpocket sur leurs préférences sexuelles. Ca ne changera évidemment pas.



  • wieeinstlilimarleen 16 avril 2008 20:57

    Concernant certaines infractions, un mode opératoire existe qui tient en compte des traits spécifiques des victimes. Par exemple, certains agressent systématiquement des homosexuels. Dès lors, en terme de recoupement, ça peut avoir un intérêt de prendre en considération ce type d’information.

    Aussi, dans certains cas, il s’agit d’un élément constitutif de l’infraction, voire d’une circonstance aggravante. Il est donc inévitable que cela soit mentionné. J’évoquais plus haut le cas d’une personne vulnérable agressée avec mise à profit de cette vulnérabilité apparente : la victime devra être mentionnée comme personne vulnérable.

    Mais dans les deux cas, il n’est pas question de ficher des informations à l’insu des concernés. Il s’agit de faire apparaitre en clair dans le texte des informations manifestement utiles à l’enquête en cours. Depuis quelques années, il est systématique qu’une copie du procès-verbal de plainte soit donnée aux plaignants.

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