« Vanité des vanités, dit L'Ecclésiaste, Tout est vanité. »
« Discussion : n, A method of confirming others in their errors »(Ambrose Bierce)
« Meuh »(La vache qui rit, dans son discours de Potsdam, 1974)
On m'a donné le choix entre le suicide et l'inscription sur ce site. J'ai choisi la première option, mais le pistolet s'est enrayé.
Vous savez, si je définis un terme de façon précise, ce n’est pas pour que racontiez des imbécillités ensuite.
Si le terme de lingua franca correspond précisément à ce que vous dites de la situation actuelle de l’anglais, y a pas à tortiller du cul et à pinailler sur des détails sémantiques, et si vous étiez un peu moins mongolien vous auriez compris dpuis longtemps que vous êtes d’accord avec moi, à ceci près que vous refusez de tirer les conséquences de vos propres déclarations, parce que cela remettrait vos certitudes en cause.
Cher ami aimable mais malcomprenant, apprenez le français comme je vous le conseille :
Oh bien sur, on peut pinailler sur des détails sémantiques pour parvenir à la conclusion qu’il faudrait dire "langue de communication mondiale " ou "lingua franca"
Qu’est ce qu’une lingua franca ? C’est une langue qui est parlée par une minoritée, mais par la minorité qui effectue la quasi-totalité des échanges internationaux. C’est ce qu’est l’anglais au niveau mondial, comme vous le reconnaissez obligemment dans votre consternant dernier message. Le seul sens de la locution "langue mondiale" qui soit acceptable est "lingua franca", car tout les autres sens potentiels de cette expression sont irréalistes.
Voici la citation exacte, parce que contrairement à Kroko qui accuse sans preuves, moi je peux faire preuve d’une certaine forme d’honnêteté intellectuelle, quand ça me prend :
"si nos journalistes et commentateurs prononcent correctement la majorité des noms à consonance anglosaxonne, c’est bien parce qu’on nous gave d’anglais depuis l’enfance, de gré ou de force !"
Et c’est complètement faux. D’une manière générale, je crois que si Krokodilo a si souvent torts (pas tout le temps), c’est parce qu’il base des théories, peut-être fouillées et détaillées, sur des "faits" imaginaires, sur des preuves virtuelles. Il peut bien inférer ce qu’il veut et raisonner comme il l’entend dans sa tête, mais présenter comme un fait indiscutable ce qui n’est au mieux qu’une déformation grossière, au pire une invention pure et dure de sa part...