Puisqu’on est en amérique, je préfère lire James Ellroy que d’aller perdre mon temps en asile. Bref, le manichéisme, c’est le mal... La pièce n’a pas que deux faces, après tout : il suffit de la mettre sur la tranche pour ouvrir une infinité de possibilités (on appelle ça la pensée transversale).
M’enfin je dévie : grain à moudre de très bonne qualité, cet article. Peut être un poil trop passionné par endroits, par contre, ça fait lever des boucliers. Mais bon, c’est le style de l’auteur, je suppose... et puis c’est pas un recul plus important qui va désincruster les boucliers permanents de certains yeux. Dommage, les débats dépassionnés et autres argumentations valables (à savoir dénuées de verdicts médicaux) profitent à tout le monde.