"il est en revanche dangereux de vouloir à tout prix réduire une page
difficile de notre Histoire à un acte de propagande antirépublicaine et
antinationale."
Absolument, avouer le génocide serait une trahison contre la république et la révolution qui la fonde. La
réalité et la vérité n’existent pas, je veux dire qu’elles sont
toujours relatives, elles sont ce que nous décidons aujourd’hui. Il
serait d’ailleurs approprié de purger les archives des textes
anti-nationaux pour évacuer tous les faux débats. Après tout, ce sont
peut être des faux insérés ultérieurement !
Un texte d’une grande objectivité et pas du tout révisionniste, par Marc Belissa, qui anime le séminaire « L’Esprit des lumières et de la Révolution » (les deux notions ne sont bien sûr pas du tout opposées) à Paris X Nanterre, et par Yannick Bosc, l’immortel auteur de Robespierre, Pour le bonheur et la liberté (sic). Il reste encore des aristos et des curés à guillotiner, Robespierre, reviens !