le voyage est payé par le chef du village, et remboursé par le gadjo* sur place, par tous les moyens licites et illicites possibles.
*le gadjo est le non rom, le non tzigane, le non manouche, le non voyageur, l’être différent chez qui l’on s’installe, que l’on a le droit de voler et piller si l’on ne peut exercer son activité (ferrail, vannerie, marchés...) pour rembourser le prêt. Le gadjo ne mérite aucun respect, il est et sera toujours hors du clan. Le gadjo est DISCREMINE. Ca ne rappelle pas une autre communauté que l’on force, contre nature, à intégrer la République (dont ils se battent les coui..es du concept) ?
le problème c’est le manque de courage politique et l’application de la loi à la tête du client, la récupération d’une misère par la galaxie droitdel’hommiste sponsorisée par le français première victime du-dit problème. Un engouement médiaticohumanitaire matraqué à longueur de journée par des bobos qui vivent bien loin du-dit problème. C’est surtout une formidable hypocrisie, lorsque « 14000 » (mais en vérité 10x plus) roms indésirables reçoivent les étrons des plus fachos des politiques, combiens d’autres sans papier hors la loi sont plus nocifs au vivre ensemble ?
... du député PS (intouchable) daniel Boisserie pardi. La sociali s’ébroue dans la fange de leur ennemi mortel le FN pour ne pas couler aux municipales, prenant encore une fois l’électeur pour un con.
la solution est dans les textes de lois, si le rom n’a pas fait de demande de naturalisation, trouvé un boulot, un logement, qu’il a ses papiers roumain ou bulgare ou machin, il ne peut rester en France que 3 mois maximum. Après retour au bercail. Pourquoi l’émotif pseudohumaniste fleur bleue interviendrait plus pour un rom que pour un syrien ou un kurde ? la loi est la loi, il suffit de l’appliquer.