La recherche sur le covid s’est focalisée sur les malades graves, mais ces malades graves représentent un faible pourcentage des personnes contaminées, dans certaines études avec des tests étendus à la « population générale »,
plus de 50% des positifs PCR étaient asymptomatiques.
Les malades graves sont des cas complexes
car le covid est superposé à autre chose.
En partant sur l’hypothèse que le covid se comporte avant tout comme un « anti inflammatoire prescrit au mauvais moment »,
pour comprendre l’action du covid « pur » il faudrait étudier les asymptomatiques plutôt que les malades graves.
Les malades graves sont ceux sur lesquels les médecins sont naturellement plus enclins à faire des mesures, vu que les mesures sont coûteuses. Mais on a très peu de mesures sur les asymptomatiques.
Dans l’étude Coviplasm, pourquoi seul le plasma des convalescents guéris a t’il été utilisé, et pas le plasma des personnes asymptomatiques ?
Ma description personelle du covid, après avoir eu une version
asymptomatique
sauf pour une très forte et longue perte du goût et de l’odorat
Perte d’odorat très inhabituelle avec un nez complètement dégagé, et très traître car on perd très rapidement la référence de ce que sont un odorat et un goût « normaux » sauf à avoir mis en en place préventivement des tests « normalisés »,
C’est seulement en retrouvant l’odorat un mois et demi après le début des symptômes que j’ai réalisé que c’était probablement le covid.
In its first stage, covid19 may be described as a
"wrongly-prescribed two weeks of highly efficient anti-inflammatory
medicine",
harmless if you are in good health,
and deadly if it temporarily disables your immune response
against an already actively multiplying pathogen invader.
Look for a medicine strong enough to disables smell for acidic smells
and disable taste for spicy food,
and you will understand covid.
ou sous une autre forme :
Habituellement les « gouttes aux essences » pour le rhume piquent les yeux
quand on approche le nez de la bouteille ouverte.
Avec le covid asymptomatique, les yeux ne piquent plus lors de ce test.
Le covid serait un anti-inflammatoire super puissant.
L’odorat par rapport aux odeurs acides type javel ou vinaigre
fonctionnerait par un processus inflammatoire local au niveau des
récepteurs olfactifs, et ce processus serait inhibé par le covid.
Seule la partie « non acide » de l’odeur est encore détectée.
Ce qui tue dans le covid c’est sa propriété anti-inflammatoire.
Là où le corps, déjà attaqué par un pathogène 1 « résidant à long terme »,
devrait continuer à se défendre par une inflammation chronique, il
arrête de se défendre, et ne reprend l’inflammation que lorsque
l’envahissement par le pathogène 1 a tellement progressé que
l’inflammation dégénère en orage létal.
La fumée de la cigarette ou de l’encens est un pro-inflammatoire qui
annule les effets du covid,
et rétablit la résistance habituelle au pathogène ?
Test d’épluchage d’oignons :
si on pleure moins que d’habitude il faut se méfier
et continuer à éplucher des oignons jusqu’à ce que ça pique de nouveau !
Consulter sage femme ?
Rééducation périnéale ?
Kinésithérapie urinaire ?
Incontinence fréquente après accouchement si pas de rééducation chez sage femme après, donc les sages femmes sont au top sur ce genre de problème.
Ou comment sauver l’humanité en affichant l’échelle de Bristol sur la porte des toilettes.
*****************************
C’est l’histoire de deux aides-soignantes qui prennent un café dans la salle de repos
après avoir passé les bassins dans les 40 chambres du pavillon covid19.
Alors les paris du jour ? demande la première.
Alors moi, répond la seconde, d’après le contenu des bassins,
je te prédis que dans 3 jours la 5 et la 29 sont soit en réanimation soit à la morgue.
Tu crois qu’on devrait essayer d’en parler au médecin ? 30 euros de probiotiques c’est quand même moins cher que 15 jours de réanimation.
Oui surtout avec 50% de mortalité en réa ...
Laisse tomber, j’ai déjà essayé il y a 3 semaines, il m’a regardé de haut et il m’a demandé « vous êtes médecin ? », j’ai répondu « non bien sûr » il m’a dit « ben alors c’est pas vous qui allez m’apprendre mon métier ».
Et pire encore le lendemain il est revenu et il m’a dit : « non seulement vous essayez de m’apprendre mon métier, mais en plus vous racontez n’importe quoi, j’ai posé la question aux patients, et ils ont dit que leur transit était normal. »
*************************
une patiente guérie après 40 ans d’immuno-dépression intestinale
ayant causé divers problèmes respiratoires chroniques,
par déshydratation et carence martiale
et trois crises
dont un oedème pulmonaire de haute altitude à seulement 3500 m.
Remède utilisé : une semaine d’Augmentin puis un mois d’Alflorex, avec de l’eau minérale pour toute la consommation.
Etat habituel avant guérison : 5-6 sur échelle de Bristol,
Etat habituel après guérison : 3-4.
***************************************
références :
les morts par déshydratation de la canicule de 2003
la notice du raticide
l’amoxilline qui détruit les bactéries donnant la vitamine K
Giulia Enders
Harriet Tuckey / Griffith Pugh
Everest – The First Ascent : The untold story of Griffith Pugh, the man who made it possible