Ma langue maternelle est le Persan. Ma connaissance de la langue Turque est limitée, mais assez pour me débrouiller quand je me trouve à Istanbul ou j’espère un jour à Konya pour visiter le mausolée de Mowlana Jalal-e-din Balkhi (Rumi).
Je te conseil d’écouter Musa Eroglu...c’est le musicien Turc que j’admire. C’est somptueux ! Voici un lien
Si tu veux découvrir la musique Persane alors je te fais rentrer par la grande porte ! Voilà un aperçu du plus grand maestro Iranien Mohammad Reza Shajarian (chant) accompagné de son fils Homayoon Shajarian (tonbak et chant) ainsi que Keyhan Kalhor (Kamancheh)et Hossein Alizadeh (Tar)
Pour les « décodeurs » d’Arrêt sur images, il est possible de regarder une télévision propre, il suffit de leur faire confiance en tant que nettoyeurs. C’est le Harpic du dimanche midi ! La Javel dominicale à domicile !
Epurer la télé, ça a l’air de nécessiter un gros boulot, mais c’est très facile quand on croit que la télé peut être claire et nette un jour ou l’autre. Il suffit de s’intéresser qu’à des épiphénomènes, à des lapsus, à des gestes ratés, à des balivernes montées en épingle : bref à l’inframince !
Gratter, creuser, forer au fin fond de la saloperie médiatique, ce serait trop salissant pour ces bourgeois droit-de-l’hommistes qui ont un morceau de morale tout gris dans le crâne à la place du cerveau. Seuls les petits poils qui dépassent des symptômes les passionnent, et plus leur intérêt se force, plus ils ont des chances d’impressioner les babas de l’autre côté du miroir déformant. Si on les mettait devant un jeu des 7 erreurs, ils en verraient une huitimème, persuadés de dénicher le détail en plus !
Décortiquer des « miettes » pour dénoncer tel geste ou tel mot au lieu d’avoir le courage d’attaquer les « gros morceaux », voilà ce qu’on faisait pendant cette émission animée par une bande de Staliniens.
A la poubelle toute la télé française... ! Sauf peut-être une seule émission : « ce soir ou jamais » qui peut se sauver grâce à son animateur Frédéric Taddeï et un semblant de démocratie « en directe » qui y règne, parfois.