Que Mme et M S aient des problèmes de couple ce n’est que banal et ne regarde qu’eux. Que le ou la future président(e) de la République soit cocu(e), fidèle ou célibataire ne présente pas grand intéret.
Ce qui est grave, c’est l’accusation de violence conjugale. Si elle est fausse, alors que le candidat qui en est accusé la démente. Si elle est vraie, il faudra bien considérer qu’un homme qui ne contrôle pas sa violence dans son foyer ne la contrôlera pas plus dans ses fonctions électives.Un président de la République est certainement soumis, dans ses fonctions, à des pressions plus fortes que les écarts de conduite de son épouse. S’il choisit la brutalité comme réponse à ces pressions, on va se retrouver en guerre avec le monde entier.