Yajovin

Ah, oui. La France serait tombée encore plus bas si ces cher(e)s conseiller(e)s en ceci ou en cela n’existaient pas.

@ Arnaud69

@ Arnaud69

@non667. Cet article ne traite pas la problématique de la coexistence entre les Hutus et les Tutsis dans le contexte spatio-temporel d’avant et/ou d’après l’arrivée de l’homme blanc au Rwanda.

Comme d’aucuns pouvaient légitimement s’attendre à un échec certains de ces prétendus pourparlers organisés - question de gagner le temps et de requinquer le M23 qui perdait déjà les pédales sur le terrain - par le Rwanda et l’Ouganda avec la participation de madame Mary Robinson et de monsieur Martin Kobler servant de cosmétique internationale. Messieurs Paul Kagame et Yoweri Museveni, nourrissant de grandes ambitions territoriales et économiques dans cette guerre d’agression à répétition, n’ont aucun intérêt de voir ces « pourparlers » aboutir à la résolution de ce conflit, si vraiment il y a conflit. Pour que la RDC retrouve sa souveraineté et sa capacité à défendre son territoire et sa population, les Congolais doivent faire front contre nos envahisseurs qui ont infiltré tous les rouages des institutions en RDC. L’imposteur Hippolyte Kanambe alias « Joseph Kabila », est la tête de gondole de cette occupation rwandaise de notre pays. Ceci fait que le terme de « traître » qu’on lui applique de fois est tout point de vue inapproprié. Ce dernier est un sujet rwandais dont le rôle principal à la tête de notre pays est de faciliter le processus de destruction, de spoliation et finalement de balkanisation de la RDC. Il joue à cet égard sa partition à merveilles. C’est lui le maître d’oeuvre de la politique expansionniste et de pillage économique de Paul Kagame. Donc, il ne peut pas se tirer une balle dans le pied en se mettant en travers des intérêts de son pays, le Rwanda plus particulièrement, et de l’Ouganda, son principal allié. Tant que les Congolais laisseront la destinée de leur pays aux mains de ceux-là même qui leur veulent du mal, le Rwanda et l’Ouganda continueront à se jouer des Congolais au travers de réunions-bidon en tout genre, jusqu’à l’accomplissement total de leurs objectifs.