Avant le progressisme (de gauche), on disait : « les femmes et les enfants d’abord » (et pas une seule féministe l’a ramenait). A notre époque, déféquée par les boomers, c’est la doxa : « les vieux et les malades d’abord ». A la devise « l’Allemagne paiera » a succédé : « les jeunes paieront ».
Cette hystérie autour du Covid a été tellement hallucinée (merci l’OMS) que les dirigeants du monde entier ne savent plus comment s’en sortir sans perdre la face, leur poste et possiblement la vie dans le lynchage qui suivrait. Le « on a fait au mieux avec votre argent » n’empêcherait aucune tête de rouler, et Louis XVI le confirmera d’où il est.
Après, il y a ceux qui remplissent leur couche à l’idée d’être frappé par le virus. Ils ont généralement entre 60 et 75 ans. Ce sont les boomers. Les plus vieux, qui sont en EHPAD, s’en foutent royalement de ce rhume. Ils ont vécu la guerre et savent que la vie ne tient à rien et qu’à leur âge, s’il doivent partir, c’est un bel âge, comme le disent les chinois. Mais qu’on ne les prive pas des visites et d’une vie sociale, eux qui n’avaient même pas peur des bombes ! (alors qu’un boomer se terre au moindre bruit de pet).
Ensuite, il y a les les Z qui ont macéré dans le politiquement correct depuis le biberon et n’ont pour seul but dans la vie que de sauver les ours et les baleines. Pour eux, la mort est inacceptable tout autant qu’une coupure de WIFI. Donc, « sauver des vies », c’est naturel, quel qu’en soit le coût, surtout quand c’est aux autres de payer : les riches, les Monsanto, les GAFAS, les salauds de pollueurs et les banquiers. Les Z (Millenials) sont trop cons pour comprendre qu’ils devront patauger dans une crise économique qui leur donnera un goût de tranchée et de gaz sarrin.
Et puis il y a les autres, ceux qui font tourner l’économie, les X et les Y, et qui se font piller les comptes et leurs droits par des gouvernements aux abois, tétanisés par la peur d’y rester (les boomers), convaincus aussi que cette génération élue ne peut mourir et que le Covid vient leur rappeler qu’on ne vit pas éternellement et en mauvaise santé en plus, et ca, ca les fait chier.
Alors, aidés de la Presse, qui a toujours été la putain des mauvaises nouvelles, ils inventent des histoires pour effrayer les petits enfants (Z) et sortent l’artillerie lourde pour contraindre les X et les Y à porter le masque à l’extérieur alors qu’aucun cluster (zéro, nada, niet, 0...) ne s’est déclaré à l’air libre. Preuve s’il en fallait, que cette supercherie sert à installer une dictature et éteindre toute opposition.
En pendant ce temps, certains sont morts de rire et profitent de cette pandémie pour récolter des milliards, asseoir leur autorité, imposer des lois, pousser leur agenda, assourdir l’opposition, dégommer Trump et consort et mettre en place une nouvelle économie (verte) histoire de changer les cartes et faire quelques fortunes. Demain un vaccin obligatoire avec marquage digital et la nouvelle gouvernance mondiale pourra passer en seconde.
Toutes les crises sont bonnes à prendre ; toutes les impostures ont un agenda qui ne se révèle que plus tard, quand il y a prescription.
Le Covid est un holdup planétaire, un 11 Septembre puissance 100. Il faut être aveugle ou avec un QI sur 1 digit pour prétendre le contraire.
moi je suis sur le terrain en contact avec les malades pas vous !
C’est pour cela que votre avis est biaisé. Quand on est aux urgences et qu’on voit arriver toute la journée des accidentés en 2 roues, on veut l’interdire et on parle de carnage. Mais quand on prend du recul et qu’on ramène cela à la population de motards, au nombre de trajets en 2 roues en France, on respire par le nez et on relativise. Pareil pour le Covid.
Non, les hospitalisations ne « sauvent » pas du Covid. Une infime minorité finit aux urgences et le pourcentage qui y reste n’aurait pas eu grand espoir avec une grippe ordinaire non plus. Quand aux plus jeunes, ce sont leurs comorbidités qui ont joué et non le virus lui-même qui n’est qu’un révélateur.
De la même façon que ce n’est pas la voiture qui tue, ni même la vitesse, mais la vitesse excessive selon la route (140 sur autoroute est sans danger ; 140 sur une départementale de montage est mortel, pourtant, la vitesse est la même. Analogie : le Covid en bonne santé = nez qui coule ; chez un vieux, cancéreux ou diabétique = mort probable)
Donc, si on doit arrêter de vivre et nous placer tous en faillite, pour éviter que les hôpitaux ne débordent (ce qui n’est pas arrivé), et bien il faut apprendre au personnel soignant à faire au mieux avec ce qu’ils ont et que l’on ne peut sauver tout le monde.
Mais qu’à vouloir prétendre le faire, avec les mesures débiles et mortifères des boomers en mal de dictature, c’est personne qui sera sauvé par la désolation et la guerre que vous, personnel soignant, aurez appelé de vos vœux. Et ce ne sera pas les respirateurs qui vous feront défaut, mais les cercueils.
Il y a deux catégories de réponses selon la catégorie du lecteur. Si le lecteur est un boomer, il trouvera le texte odieux puisque, il est interdit de critiquer cette génération « élue ». Si le lecteur est plus jeune, il trouvera plein de bon sens à ce texte qui met le doigt sur les bobos de l’époque. Et je trouve que le texte omets bien des travers que cette génération a déversé sur la planète pour la pourrir à ce point.
Un livre que j’ai lu au Québec : « les boomers finiront bien par crever », terminait avec une petite note d’espoir pour ceux qui leur succèderont. Mais l’auteur n’avait pas prévu le Covid.
Moi, j’ai su dès le début, dès mes 20 ans, que cette génération « tout eu, tout pris, tout gardé », qui a « interdit d’interdire » puis « interdit d’autoriser », qui a conchié la morale puis imposé leur moraline, qui a cassé toutes les normes pour faire place à tous les vices, nous avait promis « après nous le déluge, parce que nous le valons bien ».
Et il est là. Et cette génération tiendra sa promesse.