Lâchées dans l’horizon d’embruns tombent en pluies mal réparties les larmes d’eau rougies de mille salissures sur un coeur fondu comme on essaie, sans espoir, de pleurer sur nos ravages
Ventres lourds, aux pales suspendus vont et viennent au levant
Encore une fois, l’océan fourbu d’être levé, puis retombé en boues, voit son eau s’envoler vers une autre souillure
Takao, sous ton masque inutile, à qui fais-tu ombrage hormis à ce nuage qui s’enfuit de ton île ?
Takao, tu te souviens il y a presque un an, les cerisiers d’ici posaient sur ses cheveux les pétales à Daïchi... Tu riais, elle est morte.