« (surtout les »courageux« pourfendeurs de l’espéranto) »
Non juste des esperantistes.
« Soyez un peu honnête : au lieu de dire »l’espéranto ne s’est pas imposé« [...], dites plutôt : l’espéranto est toujours interdit d’enseignement en France, depuis 100 ans ! »
Paranoïa esperantiste. Personne n’interdit rien du tout. La preuve en est que dixit vous même des milliers de personnes l’apprennent. Maintenant, c’est sûr que l’éducation nationale n’a pas fait le choix de l’esperanto mais de l’anglais. Encore heureux, sinon, nous serions vraiment isolé.
« Si cela vous plaît que la langue numéro 1 de l’Europe (et du monde) soit celle des Etats-Unis, qu’elle leur apporte des milliards d’euros et d’innombrables avantages, la domination scientifique etc, libre à vous. Etre »lingua-collaborationniste« n’est pas un crime ! »
Oui, nous sommes d’affreux nazis.
« Et si c’était l’allemand la langue n°1, vous seriez aussi kolonisiert ? ;) »
Oui, sans aucune hésitation. Pareil si c’était l’espagnol,le russe, le chinois, le bantou ou le maya.
« il avait déjà répondu : »Oui, avec mes amis, mais jamais dans les discussions officielles, car je ne parle pas parfaitement cette langue et ce serait un handicap. Pour les sujets sérieux, il faut être sûr d’être bien compris« . »
Nous apprenons donc que pour les discussions diplomatiques, le président Chirac, en bon professionnel, faisait appel à des professionnel. En privé, bizarrement, il n’hésitait pas à parler anglais et donc pas esperanto.
Ce n’est pas une question de maîtrise, c’est une question d’enjeu. Le contexte fait qu’il n’utilise pas l’anglais en public dans le cadre de sa fonction.
Parmi les gens qui ont critiqué l’esperanto dans l’un des premiers articles d’Henri Masson, Chocolat Bleu pâle a pratiqué l’esperanto pendant plus de 20 ans.
Il a été traité de tous les noms par Masson lui-même, pour avoir émis des doutes.
Ce que je critique, c’est la mentalité de Masson plus que l’esperanto.