Il est venu au collège suite à la convocation du chef d’établissement en plein milieu de sa journée de travail, avec ses vetements de travail.
Le père, apres avoir discuté avec le prof a décider que projeter violement son fils contre le mur, le frapper, le trainer a travers la piece etait inadmissible. Il a décidé de porter plainte. C’est son droit. Si la plainte est abusive, la justice se chargera de lui faire savoir.
C’est le procureur de la république a fait mettre le prof en garde a vue par la police (et non par la gendarmerie)
Qui a averti la presse de cette histoire ? Qui a fait monter la mayonnaise de la gifle pas si grave que ca en oubliant de citer l’intégralité de la scène ?
Pour ceux qui veulent avoir une idée de ce qui s’est passé.
Coller un élève contre le mur, lui flanquer une giffle, le trainer par le pull, c’est la main qui part toute seule aussi ? Et elle peut aller jusqu’ou cette main qui part toute seule ?
"Mais revenons à ce fameux lundi que retrace le procureur Bernard Beffy. L’enseignant veut déplacer des tables pour favoriser le travail en groupe de sa classe de sixième. Arrivé devant l’une d’elles, il balaye d’un revers de main les affaires d’un élève. « Pourquoi monsieur avoir fait cela ? », objecte alors le collégien qui se voit plaqué contre un mur. « Connard », répond l’enfant. Le mot de trop pour l’enseignant qui le gifleviolemment sur la joue gauche, le traîne par le pull jusqu’à son bureau et lui fait, dans une salle proche, rédiger une lettre d’excuses. Puis revient avec l’enfant et dit à toute la classe : « La parenthèse est fermée vous n’en parlez à personne. » Comme si, pour ce professeur, l’incident était clos. Réglé. On en est loin. Deux fillettes, au bord des larmes, prennent le chemin de l’infirmerie. Elles sont choquées. Tout revient aux oreilles de la principale du collège.
Interpellé plus tard dans la matinée à son domicile avec 0,36 mg d’alcool, l’enseignant est placé en garde à vue. Son avocat Me Jean-Marc Villesèche confirme que lors de l’interpellation son client avait bu deux verres mais chez lui et après les faits. « Parce que, dit-il , la situation l’avait perturbé. » Et d’insister : « Il n’a jamais exercé sous l’empire d’un état alcoolique. » Lors de son audition, l’enseignant a quand même reconnu une dépendance alcoolique depuis quatre ans."
On est loin d’une simple giffle. Je comprends que le père aie porté plainte. Au passage, il demande à la justice d’intervenir plutot que laisser parler sa colère et s’en prendre au professeur ; le menacer, voire le molester. C’est plutot le signe d’une attitude responsable.
par lerma (IP:xxx.x57.112.24) le 31 janvier 2008 à 12H54 Vous avez raison de souligner l’absurdité de la défense d’un "pouvoir d’achat" qui ne veut plus rien dire,amis le pire c’est qu’au niveau fiscal il ne fait pas bon être célibataire. De plus n’oubliez pas de rajouter les taxes locaux qui viennent en plus vous retirer encore de l’argent. Pour quels services en plus ?