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Ingénieur, issu du monde des PME industrielles de fabrication, parfois de grandes, en tant que cadre puis dirigeant, j’ai observé ces trente dernières années un certain nombre d’erreurs (y compris les miennes) commises par de remarquables leaders (ainsi que de beaux succès heureusement) dans un certain nombre de domaines. Mon cursus est tout de même assez éclectique pour apporter ma contribution sur principalement l’art et la manière en ce qui concerne l’économie des petits ruisseaux...
J’ajoute que je suis fan d’Asimov depuis l’origine et passionné de robotique.

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Derniers commentaires



  • zelectron zelectron 17 août 2007 15:01

    « les ogm sont comme de la drogue pour la planète »

    et les plantes naturelles ? (bouturées, sélectionnées, croisées...) elles suffisent amplement et pour un certain temps à étancher la soif des chercheurs (et pourquoi pas obtenir des sujets féconds avec quelques propriétés anti-maladies ou parasites ?



  • zelectron zelectron 4 août 2007 16:45

    Vous étiez dans quel(s) domaines d’activité(s) ? vos compétences, vos souhaits, une autre activité ? Pouvez vous enseigner quelque chose aux enfants, aux ados, aux autres ? Comme dit Alberto, peut être il y a un possible ?



  • zelectron zelectron 4 août 2007 13:02

    Source : Aujourd’hui Le Maroc

    France : Le triste destin de Dominique de Villepin

    Dominique de VillepinDès qu’il a quitté Matignon, l’ancien Premier ministre français, Dominique de Villepin, s’est retrouvé face aux foudres de la justice. Il a été mis en examen dans l’affaire Clearstream.

    Même dans le scénario du plus mauvais thriller politique hollywoodien, personne n’aurait eu l’imagination aussi fertile, la plume aussi tordue et la tendance aussi perverse pour décrire le passage brusque de Dominique de Villepin d’une posture chevaleresque flamboyante croisant le fer avec l’hyper puissance américaine sur la tribune des Nations Unies, aux bureaux traditionnellement glauques des juges d’instruction parisiens. C’est ce qui arriva, pourtant, à l’ancien Premier ministre français à peine a-t-il quitté Matignon, lorsqu’il a été mis en examen pour « complicité de dénonciation calomnieuse, recel de vol, abus de confiance et complicité d’usage de faux » dans l’affaire Clearstream. Dans cette célèbre affaire de comptes bancaires occultes, il est soupçonné d’avoir participé à une manipulation de faux listings pour nuire à des personnalités politiques comme l’ancien ministre de l’Intérieur, alors candidat de l’UMP à l’Elysée, Nicolas Sarkozy. Alors qu’il devait couler des jours de retraite heureuse à la tête d’une institution internationale, ou au bord d’un gigantesque lac canadien en train de composer de poèmes, Dominique de Villepin s’est retrouvé face aux foudres de la justice quelques jours seulement après avoir livré les clefs de Matignon à son successeur François Fillon. Il a lui-même résumé sa stratégie de défense : « Je tiens à redire qu’à aucun moment je n’ai demandé d’enquête sur des personnalités politiques, qu’à aucun moment je n’ai participé à une quelconque manœuvre politique ». La diligence avec laquelle la justice française traita cette affaire fut surprenante pour beaucoup. Après avoir suivi, éberluée, les actes de ce drame estival joué en accéléré devant leur poste de télévision, la classe politique française commence à sortir de son silence. Si les socialistes de François Hollande et la gauche se sont, dès le départ, réjouis des malheurs fratricides de la nouvelle majorité, croyant y déceler une opportunité à bon compte de dissimuler leurs querelles internes et d’affaiblir le nouveau pouvoir, les élus UMP sont restés étrangement silencieux, partagés entre une fidélité à Nicolas Sarkozy et l’indispensable besoin de voler au secours d’un membre de sa famille . François Hollande s’était d’ailleurs interrogé de savoir si l’ex-chef du gouvernement s’était livré à « une manœuvre politique (...) qui n’était là que pour justifier la mise à l’écart d’un concurrent au sein de l’UMP ou du gouvernement, en l’occurrence Nicolas Sarkozy », ou s’il s’agissait « au contraire, comme le dit aujourd’hui Dominique de Villepin, d’une façon de protéger les intérêts de la France ». Avant d’enfoncer le clou : « Si, au sein de l’UMP, au sein même de l’Etat, on est capable d’utiliser des procédures comme celle-là, on peut se demander si nous sommes encore dans une République impartiale et transparente ». Au sein de la droite après un silence gêné, une voix s’est levée pour prendre la défense de Dominique de Villepin, c’est celle du député de l’Hérault Jean Pierre Grand qui avait comparé l’affaire Clearstream à l’affaire Dreyfus : « Dans cette affaire de Clearstream, on retrouve le serviteur de l’Etat qui n’a fait que son devoir de ministre en demandant, probablement, la vérification normale d’un fichier intimement lié à l’affaire des frégates de Taïwan et donc aux intérêts stratégiques de la France ». Et dans une charge dont le message est à destination du président de la République, le député Jean Pierre Grand prend des intonations menaçantes et insurrectionnelles : « En traitant Dominique de Villepin comme s’il était à la tête d’un réseau de trafiquants de drogue, les juges et les policiers portent atteinte à la démocratie ». Pour Nicolas Sarkozy, publiquement muet sur l’affaire, depuis son élection, se contentant d’inviter la justice à suivre son cours, il voit dans ce processus une opération de salubrité publique. Ses proches collaborateurs mettent en avant sa volonté de débarrasser la vie politique française des pratiques obscures des officines secrètes et du pouvoir occulte. Le nouveau président court tout de même le risque de voir que l’enthousiasme des juges, trop satisfaits de se payer un ancien Premier ministre, soit perçu par l’opinion française comme un acharnement gratuit et un règlement de compte personnel. Une fois ce stade atteint, l’effet Boomerang devient redoutable.

    Le 31-7-2007 Par : Mustapha Tossa DNCP à Paris



  • zelectron zelectron 2 août 2007 23:43

    Une violence non évoquée (ou hypocritement passée sous silence par les « feministes ») : Une énorme majorité de cause de suicide des hommes (masculins) à tous âges est la « peine d’amour »

    Une des formes de violence psychologique les plus insidieuses consiste à manipuler l’homme en l’incitant à la violence physique. Si l’homme passe à l’acte, la loi se retourne contre lui. La femme violente possède là un atout décisif : la société la croit fondamentalement victime, qu’elle le soit réellement ou non. Et elle peut, sans trop d’ingéniosité, faire croire à son entourage que c’est son conjoint qui est violent.

    « seule la betise humaine peut donner une idée de l’infini », Einstein



  • zelectron zelectron 2 août 2007 11:18

    « Ce que l’Allemagne arrive et réussit à fabriquer est de si bonne qualité, que, même d’occasion, il est encore recherché. Qui ne voudra pas d’une bonne Mercedès Diesel jeune de dix ans, d’une machine à laver Miele sortant d’une cave, d’un vieux robot de cuisine ou même d’une vieille machine à fraiser ? »

    Chaque fois qu’en France j’ai voulu expliquer (depuis 30/35 ans !)qu’un « Moulinex » « jetable » car irréparable était une injure à l’esprit, un crime contre la planète, un gaspillage de sueur et de main d’oeuvre ( à l’instar du cassage de caillou ) et qu’il serait bien plus honnorable de fabriquer toutes ces babioles en sérieux, solide, non énergivore, réparable facilement et plutôt porter notre effort sur l’exportation que de dépenser des sommes « Kolossales » à jeter retraiter (où non) et remplacer par du « made in China » nos appareils de toutes sortes, il m’a été répondu il faut bien « faire marcher le commerce » je connais bien l’Europe en général et les allemands glissent aussi vers le « jetable » c’est dommage...

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