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zenzileo

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  • zenzileo 12 juin 2007 14:14

    Bonjour NPM,

    Secteur régulé... oui et non je dirai ! Disons, du moins à mon avis, que l’état tente de le réguler par le biais de la fiscalité. Cependant il existe des bouts du marché immobilier qui échappe à toute tentative de régulation.

    Sinon je souhaitais rebondir sur votre idée que pour gagner de l’argent, il faut forcément vendre plus cher... Soit, c’est comme tout, mais justement, l’immobilier n’est pas forcément un bien comme tous les autres.

    La raison principale qui pousse les gens à acheter n’est pas l’espérance future de réaliser une plue-value (du moins pas lorsqu’on achète sa résidence principale). La sécurité, le plaisir et le besoin de se constituer un capital, une retraite, un bien à laisser à ses enfants... autant de raisons qui font que ce n’est donc pas forcément pour l’argent qu’on achète un logement !

    Le but premier du marché immobilier est que malgré les cycles, sur une période relativement longue (entre 10 et 15 ans), on ne perd pas son argent.



  • zenzileo 12 juin 2007 12:42

    @l’auteur,

    Article intéressant, mais en effet, j’aurai tendance à faire le meme genre de remarques que Icks PEY.

    Ce qu’il faut identifier en priorité sont les raisons de la hausse de l’immobilier.

    Mais il est clair qu’en France le problème est assez compliqué du à la multitude de système fiscaux permettant d’investir dans l’immobilier. Mais de façon générale, 2 raisons principales peuvent être identifiées : 1) Une demande très soutenue et une offre qui a du mal à s’étoffer (ou du moins pas assez vite) 2) des taux d’interets historiquement bas

    Pour le 1), on peut penser que c’est à l’état de gérer ce problème... Pour le 2) quoi qu’on en dise, ce ne sont ni les banques privées, ni l’état qui décident du niveau des taux, mais bien la BCE. Cette dernière vient justement de relever ses taux à 4% afin justement de contenir l’inflation des prets immobiliers (en particulier). -> trop de facilités à souscrire un credit implique inflation et tout ce qui s’en suit...

    Concernant donc une des fameuses mesures du paquet fiscal, il faut savoir que les banques ne prennent pas en compte les économonies d’impots dans le calcul de l’endettement. Ce qui veut donc dire que ce n’est pas grace à cette mesure que plus de gens pourront devenir propriétaires. Par contre, ceux qui le sont verront leur pouvoir d’achat augmenter... Et arrêter de croire qu’il n’y a que des riches qui sont priopriétaires (les riches investissent dans l’immobilier, mais pas pour leur résidence principale... et la déduction des intérêts d’emprunts ne concerne que la résidence principale).

    C’est donc plutot une mesure d’ordre psychologique, qui va dans le bon sens, qu’une porte ouverte à une spéculation effrénée sur le marché immobilier.

    D’autant que cette mesure est à mettre en relation avec les futurs projets d’augmentation du parc immobilier (hlm et privé) en france...



  • zenzileo 11 juin 2007 13:18

    Voila des réactions qui m’étonnent en ce lundi matin. Ou sont donc partis tous les gauchistes qui hurlent au hold-up démocratiques !!??

    Quoi qu’il en soit, il est clair qu’aujourd’hui encore nous assistons à ce qu’est véritablement la Vème république, à savoir un régime présidentiel. Le seul problème étant qu’il est biaisé par des élections électives vidées de leur sens.

    A méditer, mais ne serait il pas mieux, dans le cas où bien sur on reste sur la Vème république, de déplacer les législatives le même jour que la présidentielle, avec naturellement une dose de proportionnelle, et en modifiant un peu les droits du présidents ainsi que ceux de l’assemblée (suppression du droit de dissolution, à mettre en place avec un nouveau droit de veto pour le président sur les projets de lois du parlement, refondation du sénat...).



  • zenzileo 10 juin 2007 01:21

    @JMD ainsi qu’à l’auteur,

    Pour reprendre un peu mon petit post, il est clair que le premier devoir de la société est de savoir si le (les) marché(s) ont fonctionné, et si ils répondent aux besoins pour lesquels on les a créés. Toute la question n’est pas de savoir s’il faut les supprimer, mais de savoir comment on intervient dessus, pour qui, dans quel but...

    Et c’est la bien tout le rôle de la politique.



  • zenzileo 9 juin 2007 02:08

    En effet à l’aube du XXIème siècle et à l’heure de la planète « Monde », les marchés en tant que bases du système économique mondiale sont quelque peu indispensables. Mais bien heureusement, ils peuvent être gérés et utilisés d’une multitude de façon. L’économie nous explique et nous aide à décrypter le passé, et tant bien que mal le présent. Mais comme toute science humaine est bien incapable de prédire le futur... et viens donc la politique ! Et là les choses sont compliquent, mais remercions pour l’heure AG de participer à la diffusion de l’information entre les individus.

    Je souhaitais revenir entre autre sur les SCOP et remercier Emile pour ces informations détaillées.

    Mais de façon plus générale...

    Qui créer de l’emploi en France ? L’état bien sur, et le secteur privé d’autre part.

    Quant au secteur privé, il faut mettre à sa disposition différents mécanismes, différents modèles, différentes sources de capitaux afin de naitre, puis de vivre.

    Les banques sont un moyen de trouver des financements pour une entreprise... La bourse est un autre moyen de se financer.

    Et les LBO sont un autre moyen de se financer. On critique énormément, mais regardons de plus près...

    En 2006, les entreprises soutenues par LBO répresentent 1,5 millions d’emplois en France.

    Croissance du nombre de salariés de 4,1% entre 2004 et 2005 (+60 000 emplois), alors même que l’emploi dans le secteur privé n’augmentait que de 0,6%.

    Chiffre d’affaire d’environ 200 milliards d’euros (+6,9% entre 2004 et 2005)

    55% des entreprises soutenues par LBO ont moins de 100 salariés. 80% ont moins de 500 salariés.

    4852 entreprises soutenues par des mécanismes de LBO en France.

    A méditer je pense...


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