Zepekegno

@ Morice : C’est quoi pour vous le "vrai" Metal ? Aggressive Agricultor ?

@ Jaja : Je ne suis pas ici pour défendre Dalziel ou qui que ce soit, mais admettez tout de même que ce n’est pas lui qui a commencé à entonner le couplet sur la Bête Immonde et tout le toutim... Mais en l’entraînant dans le sempiternel débat raciste/pas raciste (dont tout le monde se contrefout, chacun étant théoriquement en droit d’avoir ses opinions), vous évitez le vrai débat.

 Ces fameux "résidents étrangers originaires d’un pays n’appartenant pas à l’Union européenne" arriveront en France fort démunis pour la plupart ; leur conférer le droit de vote sans passer par l’étape naturalisation signifie que tous ces gens voteront pour des candidats misant pour le social, toujours plus de social... en avons-nous encore les moyens ?

 Sommes-nous prêts à voir la notion de nationalité peu à peu dépouillée de son essence ?

 Cette histoire de droit de vote donné à tous, comme une pute sur le déclin est bradée par son maquereau, me semble sortie tout droit d’un mauvais rêve....

 Et chercher à y mêler des accusations de racisme relève de la pire malhonnêteté intellectuelle : on parle ici d’un droit conféré par la NATIONALITE, et pas par le taux de mélanine ! Ce genre d’amalgame puant a au moins le mérite de nous révéler le vrai visage des autoproclamés "antiracistes"...

 Pourquoi vouloir compliquer ce qui est simple ?

 Excellent article, qui met bien en exergue notre franchouillard systéme de défense contre la réalité : soit on pleurniche sur des questions de forme en évitant soigneusement la moindre allusion au fond du débat, soit on fait passer le paresseux (l’animal) pour un guerillero sanguinaire par notre force d’inertie quasi minérale. 

Nous avons encore trop à perdre pour affronter collectivement la réalité, mais pour combien de temps ?

 Comme Dimetrodon, ce livre (ce que j’en ai lu en tout cas) m’est plus apparu comme un document plutôt intéressant sur l’Europe des années 20 que comme un Necronomicon potentiel (vous savez, le livre dont vous êtes la victime !).

 L’interdire revient à se fourrer la tête sous l’oreiller en espérant que le monstre du placard va disparaître....