"..Mais n’oublions jamais, même si je suis plutôt d’accord avec les conclusions du Giec, et même si je suis très critique envers Météo-France et les organismes de financement de la recherche, qu’il vaut mieux prévenir que guérir, et que je ne connais aucun système qui ne réagit pas lorsqu’on augmente massivement les quantités d’un de ces paramètres de contrôle (ici le CO2)...."
Des tonnes de référence croisées et de débats contracdictoire pour finalement introduire ici le seul comportement "logique".
Cela dit, je mets surtout l’accent sur le fait que monsieur tout le monde interressé au débat, est très vite boxé dans son coin et n’ose plus "poster". Vous avez évidemment raison concernant votre liberté de débattre
Il n’y a qu’une façon de juger un film sur un super-heros. C’est la qualité de son adaptation par rapport a la version BD. Dans le cas de Batman, la version de Nolan est meilleur que celle de Burton. Suivant ce principe, comparer les adaptations d’Iron-Man et de Batman est presque une hérésie. Je suis un fan d’IronMan, mais force est de constater que les scénaristes BD de Batman sont meilleurs que ceux d’IronMan. Donc une adaption réussie des deux donnera toujours un avantage à Batman. CQFD
MDR.
Au bout de 272 réactions a l’article ( ou a un autre traitant du même sujet) le constat est toujours le même.
Les internautes sont regroupés dans 3 catégories
1)les pros dont c’est le métier, répartis en deux groupes, les tenants du réchauffement (avec l’homme coupable ou pas) et ceux qui pensent que le climat suit un « cycle » normal
2)Les amateurs éclairés, non pros, mais compulsant des tonnes d’infos sur le net. Répartis aussi en deux groupes comme les pros.
3)Et la troisième ( la mienne ) « fonctionnant » au ressenti , à la « sensibilité ». Cette catégorie ce fait toujours rembarrée par les deux autres (pas d’accord entre eux) à coup de « mon bon monsieur, vous n’y entendez rien, avez lu ceci, êtes vous au courant de cela, s’avez-vous que etc etc etc.." plus ou moins condescendant
Articles (au pluriel) trollesques. Dans le doute, vivre comme-ci la planète ETAIT vraiment en danger en préservant les ressources et en respectant ses voisins.